Thursday, July 27, 2006

Quelques liens vers d'autres sites dénoncant le Gauchisme















gionnaires, nous ne sommes pas seuls! Voici quelques liens vers d'autres combattants.

http://unispourjeterlagauche.hautetfort.com/
De valeureux camarades de combat. Ils sont particulièrement anti-socialistes et en dénoncent, comme nous, les dangers, les contradictions, les arnaques. Un régal. Tous unis pour jetter la Gauche.


http://labaf.blogspot.com/
Brigade de l'Argent des Francais. Exellent Groupe d'intervention tactique spécialisé dans les opération de traque du Beaucraticus Fiscalis Rex Tyranicus. Trés engagés, au travers d'actions coup de poing sur le terrain, ils sont une réference incoutournable de notre combat. Longue vie à la glorieuse B.A.F!

http://legauchisterepenti.oldiblog.com/
Intelligent et modéré. Un ancien Gauchiste repenti. Cela donnera de l'espoir à chacun d'entre nous. Lorsque les victimes s'émancipent.

http://jugeantigauchistes.googlepages.com/
Le juge anti gauchiste. Particulièrement utile pour les définitions.

http://journalpolitique.blogspot.com/

Beau travail de reflexion Politique. Contient quelques perles virulentes contre nos chers gauchards...



http://www.bafweb.com/
Site d'information alternative qui ne porte pas nos amis bavardeurs dans son coeur..
http://www.subversiv.com/
Un peu de tout. Effectivement subversif.








Wednesday, July 26, 2006

Message de solidarité pour la Défense de la qualité (de vie) du Service Publique

Valeureux légionnaires! Il fait chaud! Hydratez vous conformement aux directives Etatiques. A l'heure ou des millions d'ouvriers gagnent courageusement leur croute sur les chantiers sous le cagna, ou beaucoup poursuivent le travail avec peine avant de courtes vacances dispendieuses avec un pouvoir d'achat dérisoire, à l'heure ou la fabrication de vos cotisations sociales vous font suer plus que jamais :
Alexander vous demande un effort de solidarité d'avec tous les valeureux professeorae syndicalis, forcés de beneficier de près de 8 semaines de congés en cette période difficile, et qui souffrent le Martyr, quelque part, dans leur jardin, à l'air frais de la Montagne, ou encore à la plage.

Oui, très valeureux Légionnaires, Nous sommes parfois égoistes. Avons nous seulement pensé à la difficulté de subir 14 Semaines de Vacances forcées par an? Avons nous la moindre idée des difficultés que posent le financement de celles-ci, nous qui en avons le tiers? Connaissons nous l'abominable dilème : partirons nous 6 semaines ou 2 mois cet été? Mais que va t'on faire du chat pendant ces 2 mois?Je pourrais peut etre faire des travaux à la maison les 3dernières semaines... Non. Nous n'y pensons jamais, jamais, jamais, égoistes raleurs que nous sommes. Il est parfois necessaire de faire preuve d'empathie, de compréhenssion, et de fraternité.
Alors, à la rentrée, très chers frères d'armes, lorsque les Mouvements sociaux de Défense de la qualité (de vie) du Service publique recommenceront leur joyeux tintamare , ayez aussi une pensée pour le Professorae Capes Capes Syndicalis, et ne dites pas "mais qu'es ce qu'ils ont encore à chialer ceux la, on les a pas entendu pendant les vacances".
La crédibilité des acteurs de la "glorieuse lutte sociale" se mesure aussi à la discrétion dont ils font curieusement preuve pendant les vacances...Quelle merveille. Cela rapelle à Alexandre la bonne vielle époque de la trève militaire des Olympiades, en sa région natale. En corollaire, on peut penser que des vacances de 365 jours par an suffiraient à satisfaire entièrement leurs revendications??? Nous en appelons aux SGEN's pour une réponse urgente!
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Monday, July 24, 2006

(im)..Posture basique de l'Enarquoidus Politicae : Temporiser l'écheance Eléctorale, le grand Cirque de Pekin.

La politique est « l’art des possibles ». Dans un système parlementaire ou le rang et la situation d’un élu dépendent strictement de sa capacité à justifier, non pas son utilité par des actes, mais par sa prise de position bien idéologique au sein du débat, précédée par son dévouement au parti, le premier des imbécile comprendra aisément qu’il convient d’abord à cet homme de faire durer son fond de commerce le plus longtemps possible. En particulier dans le cadre de situations dans lesquelles une décision difficile devrait être prise (c'est-à-dire une décision nécessaire, et donc éventuellement impopulaire), la stratégie, ou plutôt la tactique la plus appropriée consiste à temporiser, à occuper le débat, à s'ébattre joyeusement avec pathos, à faire diverssion.
La technique est basique, et pourtant abondamment éprouvée. On se saisit de toute affaire secondaire, que l’on monte en épingle, avec le concours toujours gracieux du media condescendant, et l’on fait résonner à la corne de ce dévot bienveillant une peccadille pour occuper l’espace sonore.
Les medias concurrents développant l’affaire en maintes occasions comme s’il s’agissait d’un cas incontournable, ou mieux, un cas croustillant défiant les lois habituelles de la tolérance, et qui se prêterait aussitôt si bien à un bavardage ou à un texte de plus. Ces sujets de troisième zone sont légions, on peut citer entre autres les thèmes récurrents de l’insécurité routière, la canicule, l’obésité à l’école, telle ou telle lutte interne ou externe entre divers partis, ou « mouvances », ou telle nouvelle critique véhémente au sujet de la dernière prise de position d’un adversaire (collègue de travail).
Tous les prétextes sont bons. Idéalement, pourvu que le sujet ne soit pas trop fondamental, ou alors, qu’on le traite sous forme de belles rhétoriques éternelles, passant au premier plan les questions philosophiques aux couleurs du parti, posant le sujet sur le plan idéologique et à l’ombre du drapeau du parti avant toute réflexion pragmatique, et surtout pas par la proposition de solutions concrètes. Le débat doit systématiquement glisser
Plus le sujet est négligeable au regard des intérêts fondamentaux, et plus l’empressement à légiférer sera grand. La réciproque est évidente. Le but n’est pas de rechercher la ou les solutions à une problématique donnée, surtout si elle est d’importance et implique par essence une décision risquée, mais plutôt d’éviter celle-ci, purement et simplement. Mais alors il faut bien être vu, et éventuellement écouté (non pas entendu, cela n’ayant aucune importance). Et le cirque, avec ses clowns tristes et son cortège pimpant de roulottes sonores, continuera sa tournée jusqu’à la prochaine saison. Ce qui prédispose avant toute chose à cet état de fait est l’idée de responsabilité liée à la fatalité de l’échéance électorale. Nous verrons plus tard au chapitre concernant « l’élitisme » à la française en quoi l’école du cirque et son réseau n’ont aucunement intérêt à modifier leurs tactiques, cela alors même que la gravité de la situation économique et sociale de la nation de leurs infortunés spectateurs (citoyens) se dégrade au sein d’un monde globalisé et fortement concurrentiel.
Néanmoins, il arrive que l’actualité place nos responsables devant le fait accompli, en particulier lorsque la grogne dépasse le milieu formel des objections des partis concurrents ou des syndicats militants, et lorsqu’ils se ressent au sein de la population l’éventualité d’un malaise profond. C’est alors le triomphe d’une débauche d’énergie tous azimuts, souvent accompagnée à grands tambours de réunions de crises et d’indignations, poussant même en certaines occasions exceptionnelles la dévotion à la création d’une commission spéciale…. Soudain, tout le monde se déclare être au fait de la situation, rappelant au passage quelle fut telle ou telle allusion passée au problème dans leurs discours, ou telle ou telle mesure qui fut prise sous tel ou tel manda, etc.. S’ajoute alors à l’agitation radio télévisuelle l’annonce de prise de décisions prochaines.Le pouvoir d’achat en chute libre en France constitue un problème récurrent connexe du chômage, dont la crise du carburant avait accentué encore l’impact, si besoin en était Une des mesure envisagée, après s’être préoccupé subitement d’un problème que le moindre universitaire, même attardé, pouvait prévoir de longue date, fu la proposition d’abaisser la vitesse sur autoroute, mais jamais ne fut évoqué un effort de l’état pour soulager l’usager. Puis se produit rapidement, après l’émotion, et si possible dans un délais d’une précision remarquable de moins d’une semaine, l’extraordinaire diversion médiatique. Ce phénomène est plus remarquablement régulier encore que la mécanique régissant le mouvement des astres.
Quelle déception lorsque je vis à cette période, sur les stations services du Luxembourg, à une heure tardive, des filles d’attente dignes d’un autre temps et dont la totalité des véhicules était immatriculée en France. La honte, tout simplement, de voir les citoyens d’un grand pays réduis à l’exil pour un plein, et dans une si remarquable proportion. Fort heureusement, trois jours plus tard à Paris, l’incendie meurtrier d’un immeuble misérablement miteux permettait l’orchestration d’un autre débat, au sein duquel on découvrait, avec une surprise un peu douteuse toutefois, les conditions inacceptables des minorités ethniques, et le lancement des procédures d’expulsion des occupants (mesure préventives) qui ne manqueraient pas d’alimenter le débat plus vaste, non moins plus important encore, sur le logement. Et, cahin-caha, la roulotte pouvait s’ébranler vers sa prochaine représentation.