DETOURNEMENT du droit à la différence , DICTATURE DE LA PENSEE UNIQUE
En réponse aux nombreux posts au caractère enthousiaste et accusateurs, qui insultent la Légion en voulant la réduire à un mouvement trivial raciste et fascisant, nous en profitons pour en remercier les auteurs pour autant de preuves de la pauvreté et de l'insalubrité de la réthorique Gauchiste. Encore merci.
Dire que la notion de performance doit exister au sein du Service Public
= être un anti Fonctionnaire et vouloir la mort du Service Public
Dire que la restauration de la discipline et de l’autorité à l’école est un préalable indispensable à l’éducation des élèves = être un fasciste
Dites seulement que vous aimez votre pays et que vous vous souciez de la situation
= vous etes un nationaliste
Etre favorable à la suppression des allocations pour responsabiliser les parents qui laissent leurs enfants mineurs sans aucun contrôle errer et sécher l’école = être un abominable exterminateur fasciste raciste anti social
Un individu issu des quartiers difficiles met le feu à un bus dont une personne handicapée est prisonnière
= l’individu a des circonstances atténuantes au sens ou il est d’abord victime de l’exclusion, de l’exploitation du Capital, et des aides sociales insuffisantes, de discriminations. Ensuite et seulement ensuite, c’est éventuellement aussi un criminel débilitant.
Ne pas etre d’accord avec le principe de discrimination positive = être raciste
Estimer que la pression fiscale détruit l’économie
= Etre un affreux Capitaliste anti social
Se déclarer favorable au service civil (ou militaire)
= Etre un dangereux réactionnaire (Militariste)
Penser que les droits comportent la contrepartie de devoirs = être un vieux réactionnaire pétainiste
Avoir travaillé dur et réussi professionnellement = être un calculateur égoïste , froid et inhumain
Se déclarer opposé à une idée, mouvement, Loi, ou quelque proposition issu d’un mouvement politique de Gauche
= Etre un dangereux capitaliste anti social réactionnaire raciste et homophobe
S’inquiéter de l’endettement du pays et de ses conséquences = être un vilain réactionnaire capitaliste
Se défendre en cas d’agression par la force si nécessaire
= être un abominable fasciste
Vouloir contrôler les éventuelles fraudes et abus des prestations sociales , considérant que celles ci sont inacceptables, moralement, et économiquement car l’effort de solidarité nationale devrait être réservé strictement à ceux qui en on besoin, le reste étant pire que du vol
= vouloir précariser les plus faibles au profit des horribles salariés égoïstes qui on la chance d’avoir un travail et qui ne payent jamais assez d’impôt
La liste est longue. Lorsque vous y consacrerez quelques instants, à la réflexion, n’étés vous ou n’avez vous pas été, vous aussi, à un nomment ou à un autre, le vilain fasciste réactionnaire anti social égoïste d’un ou de plusieurs utopistes chantants, dont la générosité et les grandes litanies vous auront semblé trop belles pour ne pas être suspecte ?
Un légionnaire qui, au cours de sa journée, ne s'est pas fait fait insulté, n'a pas provoqué la colère, ne s'est pas confronté avec le gauchiste, celui la a perdu sa journée.
Il fut un homme qui tenta l’aventure Politique, certes avec humour, mais avec tout autant de bonne volonté. Un regrettable accident malvenu le délivra bien à temps des possibilités de faire un jour l’expérience cosmique de l’exercice du pouvoir. Coluche avait dit un jour « la seule différence entre la Démocratie et la Dictature : La dictature c’est ferme ta gueule, la Démocratie c’est cause toujours » La nuance est subtile, le mot était bon, l’auteur tout autant. Cette excellente boutade met en lumière une des grandes menaces à laquelle la Démocratie est confrontée, une maladie auto immune indissociable d’elle même, à savoir la Liberté de débattre, de critiquer, de penser, émanant d’un des principe qui en fonde la base inaliénable: La Liberté, et en particuliers celle de penser et d’en débattre. En théorie donc, la pensée est libre en Démocratie, et ne trouve virtuellement sa limite qu’au respect des pensées éventuellement divergentes. Or à la pratique, force est de constater qu’une certaine hypocrisie latente réduit le champs des possibles à ce que l’on pourrait appeler un cône de tolérance, ou cône de niaiserie, dont les limites sont définies par la nécessité de réduire et contrôler cette pensée pour en contenir l’expression bien plus que par le nécessaire et suffisant respect des idées divergentes.
Tout comme concernant le Parlementarisme en Politique, l’expression permanente de la confrontation des idées fini par aboutir à ce qui ressemble à une pléthore de bavardages dont l’unique résultat concret ne peut plus être que la seule satisfaction d’avoir mené la conversation, sorte de joute moderne dont l’arène demeurerait désespérément stérile. Car l’amoncellement d’idées, leur enchevêtrement quasi partousesque dans une profusion de banquet ne procède, in finé, qu’à décrédibiliser chacune de ces idées en les noyant dans la masse informe de toute les autres, et finalement à ruiner leur substance, ou leur absence de substance, leur pertinence éventuelle. Ceci est aussi regrettable que préjudiciable à l’expression de la démocratie qui devrait permettre l’émergence des idées les plus riches au profit du bien collectif. Précisément en cela, cet état de fait, cette fatalité inique permet le triomphe des médiocres et des ambitieux, au détriment de l’intelligence et de l’action. Or ce phénomène parlementaire, par imitation ou par mimétisme, s’est désormais fait jour au sein de la société civile, rendant finalement le citoyen électeur aussi peu attentif que possible en le noyant dans ses propres satisfactions de bavardeur, de penseur compromiste, de parfait équilibriste du « zero », échangeant avec ses pairs dans le cadre moisi et prudemment restreint du politiquement correct, ne risquant à aucun prix d’être exclu des précieuses faveurs du petit cercle, à savoir une estime hypocrite et la promesse indéfectible d’appartenir à une belle et grande famille. Au sein de la société civile, en réalité, l’apparente toute liberté a comme premier effet un sentiment profond de solitude et d’isolement, qui au delà l’illusion auto entretenue résulte de la frustration bien légitime d’un manque de sincérité et de valeurs, sans lesquelles l’individu ne peut s’épanouir socialement. Cette frustration résultant d’un manque d’ouverture du champ intellectuel par autocensure est probablement à l’origine du malaise francais et de la fameuse morosité générale. Car en matière d’échanges humains également, profusion ne signifie pas richesse.
Le problème que pose la limitation des idées à un cône de tolérance du Politiquement correct est bien entendu la limitation de la réflexion à un champs réduit et bien souvent borné à des considérations de nature purement idéologiques et rigides, étouffant dans l’œuf toute possibilité d’innovation intellectuelle et les solutions pouvant en émaner. Le Media, vecteur moderne d’échange, et en particulier le Media télévisuel, est ici l’arbitre partial, le gardien servile de l’information, mais encore des limites de ce cône de réduction. Mieux même, il a vocation à conserver l’illusion d’une liberté totale, particulièrement à travers le bombardement de niaiseries aussi diversifiées que subversives. La vente d’une certaine forme de débilité soporifique, la promotion de la pensée proprette, le sacre du « gnan gnan dégoulinant », le triomphe des « insignifiances » aura parachevé l’œuvre initiée au sein des pouvoirs politiques de faire du citoyen électeur un animal docile, pathologiquement convaincu de son indépendance de pensée, et par ailleurs finement égoïste, parfaitement grégaire et profondément poltron. Il faut se rendre à l’évidence que le dogme de la pensée unique représente un formidable outil de censure à l’usage du Pouvoir. En effet, il est alors pleinement possible de discriminer toute brebis égarée en catégorisant son positionnement pour la décrédibiliser puisque étant située hors du cône de niaiserie (idée jugée trop compliquée, donc ennuyeuse et donc peu populaire), ou bien hors du cône du « politiquement correct » (c’est le cas idéal lorsqu’une idée peut, de prés ou de loin, être qualifiée de réactionnaire, fasciste, anti démocratique, ou comble du luxe : anti sociale). On pourra au passage se faire la réflexion que le pouvoir politique sait parfaitement combiner son discours officiel dans les limites de ces deux cônes superposés: celui de la niaiserie « populaire » des plateaux télé, télé réalité, incident sensationnel, grandes offuscations officielles, bref, le kitch, et le cône du « politiquement correct », caractérisé par une incapacité inique à évoluer, à mettre en œuvre, à décider, à innover, bref, à diriger un pays. Il semblerait que la décadence Politique ai déteint sur le citoyen, et par conséquent sur le moteur même du système démocratique, en faisant des citoyens des militants inconditionnels de l’insignifiant, prisonniers béats de carcans de pensés et d’idéologies moribondes et ruineuses, marchant comme un seul homme à la ruine de leur pays, arborant le sourire niais du dépressif anesthésié, ne serais ce que pour ne pas risquer d’être seul, meme libre. Sous couvert du droit à la différence, la pensée unique permet à une démocratie l’obtention des moyens de censure d’une dictature. La seule différence est que le tube cathodique a remplacé la matraque. C’est, à n’en pas douter, moins douloureux, mais tout aussi efficace, et ce, dans la pereinité, le silence et la discrétion, mieux même, le peuple la réclame .
Quelques équations triviales de discrimination de la pensée unique,
DICTIONNAIRE DE LA DICTATURE DE LA PENSEE UNIQUE :
Ne pas être d’accord avec les mouvements syndicaux
= être un fasciste réactionnaire anti social et égoïste
Se lasser des mouvements de grève à répétition
= être un Capitaliste égoïste
Tout comme concernant le Parlementarisme en Politique, l’expression permanente de la confrontation des idées fini par aboutir à ce qui ressemble à une pléthore de bavardages dont l’unique résultat concret ne peut plus être que la seule satisfaction d’avoir mené la conversation, sorte de joute moderne dont l’arène demeurerait désespérément stérile. Car l’amoncellement d’idées, leur enchevêtrement quasi partousesque dans une profusion de banquet ne procède, in finé, qu’à décrédibiliser chacune de ces idées en les noyant dans la masse informe de toute les autres, et finalement à ruiner leur substance, ou leur absence de substance, leur pertinence éventuelle. Ceci est aussi regrettable que préjudiciable à l’expression de la démocratie qui devrait permettre l’émergence des idées les plus riches au profit du bien collectif. Précisément en cela, cet état de fait, cette fatalité inique permet le triomphe des médiocres et des ambitieux, au détriment de l’intelligence et de l’action. Or ce phénomène parlementaire, par imitation ou par mimétisme, s’est désormais fait jour au sein de la société civile, rendant finalement le citoyen électeur aussi peu attentif que possible en le noyant dans ses propres satisfactions de bavardeur, de penseur compromiste, de parfait équilibriste du « zero », échangeant avec ses pairs dans le cadre moisi et prudemment restreint du politiquement correct, ne risquant à aucun prix d’être exclu des précieuses faveurs du petit cercle, à savoir une estime hypocrite et la promesse indéfectible d’appartenir à une belle et grande famille. Au sein de la société civile, en réalité, l’apparente toute liberté a comme premier effet un sentiment profond de solitude et d’isolement, qui au delà l’illusion auto entretenue résulte de la frustration bien légitime d’un manque de sincérité et de valeurs, sans lesquelles l’individu ne peut s’épanouir socialement. Cette frustration résultant d’un manque d’ouverture du champ intellectuel par autocensure est probablement à l’origine du malaise francais et de la fameuse morosité générale. Car en matière d’échanges humains également, profusion ne signifie pas richesse.
Le problème que pose la limitation des idées à un cône de tolérance du Politiquement correct est bien entendu la limitation de la réflexion à un champs réduit et bien souvent borné à des considérations de nature purement idéologiques et rigides, étouffant dans l’œuf toute possibilité d’innovation intellectuelle et les solutions pouvant en émaner. Le Media, vecteur moderne d’échange, et en particulier le Media télévisuel, est ici l’arbitre partial, le gardien servile de l’information, mais encore des limites de ce cône de réduction. Mieux même, il a vocation à conserver l’illusion d’une liberté totale, particulièrement à travers le bombardement de niaiseries aussi diversifiées que subversives. La vente d’une certaine forme de débilité soporifique, la promotion de la pensée proprette, le sacre du « gnan gnan dégoulinant », le triomphe des « insignifiances » aura parachevé l’œuvre initiée au sein des pouvoirs politiques de faire du citoyen électeur un animal docile, pathologiquement convaincu de son indépendance de pensée, et par ailleurs finement égoïste, parfaitement grégaire et profondément poltron. Il faut se rendre à l’évidence que le dogme de la pensée unique représente un formidable outil de censure à l’usage du Pouvoir. En effet, il est alors pleinement possible de discriminer toute brebis égarée en catégorisant son positionnement pour la décrédibiliser puisque étant située hors du cône de niaiserie (idée jugée trop compliquée, donc ennuyeuse et donc peu populaire), ou bien hors du cône du « politiquement correct » (c’est le cas idéal lorsqu’une idée peut, de prés ou de loin, être qualifiée de réactionnaire, fasciste, anti démocratique, ou comble du luxe : anti sociale). On pourra au passage se faire la réflexion que le pouvoir politique sait parfaitement combiner son discours officiel dans les limites de ces deux cônes superposés: celui de la niaiserie « populaire » des plateaux télé, télé réalité, incident sensationnel, grandes offuscations officielles, bref, le kitch, et le cône du « politiquement correct », caractérisé par une incapacité inique à évoluer, à mettre en œuvre, à décider, à innover, bref, à diriger un pays. Il semblerait que la décadence Politique ai déteint sur le citoyen, et par conséquent sur le moteur même du système démocratique, en faisant des citoyens des militants inconditionnels de l’insignifiant, prisonniers béats de carcans de pensés et d’idéologies moribondes et ruineuses, marchant comme un seul homme à la ruine de leur pays, arborant le sourire niais du dépressif anesthésié, ne serais ce que pour ne pas risquer d’être seul, meme libre. Sous couvert du droit à la différence, la pensée unique permet à une démocratie l’obtention des moyens de censure d’une dictature. La seule différence est que le tube cathodique a remplacé la matraque. C’est, à n’en pas douter, moins douloureux, mais tout aussi efficace, et ce, dans la pereinité, le silence et la discrétion, mieux même, le peuple la réclame .
Quelques équations triviales de discrimination de la pensée unique,
DICTIONNAIRE DE LA DICTATURE DE LA PENSEE UNIQUE :
Ne pas être d’accord avec les mouvements syndicaux
= être un fasciste réactionnaire anti social et égoïste
Se lasser des mouvements de grève à répétition
= être un Capitaliste égoïste
Dire que la notion de performance doit exister au sein du Service Public
= être un anti Fonctionnaire et vouloir la mort du Service Public
Dire que la restauration de la discipline et de l’autorité à l’école est un préalable indispensable à l’éducation des élèves = être un fasciste
Dites seulement que vous aimez votre pays et que vous vous souciez de la situation
= vous etes un nationaliste
Etre favorable à la suppression des allocations pour responsabiliser les parents qui laissent leurs enfants mineurs sans aucun contrôle errer et sécher l’école = être un abominable exterminateur fasciste raciste anti social
Un individu issu des quartiers difficiles met le feu à un bus dont une personne handicapée est prisonnière
= l’individu a des circonstances atténuantes au sens ou il est d’abord victime de l’exclusion, de l’exploitation du Capital, et des aides sociales insuffisantes, de discriminations. Ensuite et seulement ensuite, c’est éventuellement aussi un criminel débilitant.
Ne pas etre d’accord avec le principe de discrimination positive = être raciste
Estimer que la pression fiscale détruit l’économie
= Etre un affreux Capitaliste anti social
Se déclarer favorable au service civil (ou militaire)
= Etre un dangereux réactionnaire (Militariste)
Penser que les droits comportent la contrepartie de devoirs = être un vieux réactionnaire pétainiste
Avoir travaillé dur et réussi professionnellement = être un calculateur égoïste , froid et inhumain
Se déclarer opposé à une idée, mouvement, Loi, ou quelque proposition issu d’un mouvement politique de Gauche
= Etre un dangereux capitaliste anti social réactionnaire raciste et homophobe
S’inquiéter de l’endettement du pays et de ses conséquences = être un vilain réactionnaire capitaliste
Se défendre en cas d’agression par la force si nécessaire
= être un abominable fasciste
Vouloir contrôler les éventuelles fraudes et abus des prestations sociales , considérant que celles ci sont inacceptables, moralement, et économiquement car l’effort de solidarité nationale devrait être réservé strictement à ceux qui en on besoin, le reste étant pire que du vol
= vouloir précariser les plus faibles au profit des horribles salariés égoïstes qui on la chance d’avoir un travail et qui ne payent jamais assez d’impôt
La liste est longue. Lorsque vous y consacrerez quelques instants, à la réflexion, n’étés vous ou n’avez vous pas été, vous aussi, à un nomment ou à un autre, le vilain fasciste réactionnaire anti social égoïste d’un ou de plusieurs utopistes chantants, dont la générosité et les grandes litanies vous auront semblé trop belles pour ne pas être suspecte ?