Tuesday, September 08, 2009
Thursday, March 20, 2008
- Les retraites des fonctionnaires "spéciaux", ils s'en sortent mieux qu'avant réforme.
- Les heures sup? Tout le monde n'est pas concerné, sympa pour les autres.. Surtout, dois t-on remercier qui que ce soit de permettre une évidence? Qu'y a t-il de grand la dedans?..Un peu léger..
- The fiscal packet, la par contre trés trés trés bon pour les 16000 veinards. Le retour sur investissement est aussi douteux au plan économique qu'il est désastreux au plan politique.
- LE plan Atali et ses 101 mesures : bon, concret, casser les doublons, les corporatismes, optimiser... mais rejetté en application??? Allo Houston, vous m'entendez?
- LA reforme de l'université? Quoi, au final, toujours pas de sélection, des beaux batiments tous neufs, c'est tout. Super..Allez, vous fornirez bien les bombes de peinture rouge pour les mettre plus au gout de leurs futurs locataires. J'espère que nos Archis auront prévu un grand amphi spécial AG aussi.
- La TIP flottante, vous y avez pensé?
- Votre ministre de l'économie, "tout va bien Mme la Marquise", changez la immédiatement.
- J Santini pris la main dans le portefeuille, meme pas viré?
- Un petit colonel sanguinaire né le cul sur un puit de petrole viens en France, se fout de notre guele et nous chie dessus ???
- Et ces connards de l'union de la métalurgie, pas de Karcher? Y a plus d'eau?
- Tailler la pub sur France 2, pour qu'on se la regarde enfler dans 5 ans notre belle redevance, ou pour remercier TF1 par un trés beau marché publicitaire? N'y a t'il pas mieux à faire?
On pourrait malheureusement poursuivre la liste. Que de bévues, confusion, rien n'est fait dans l'ordre.
Qu'on voulu dire les millions d'électeurs de droite en laissant la victoire aux petits cochons?
Qu'il faut se reveiller. Agissez, mais agissez pour la majorité.
Reformez structurellemnt l'Etat, détruisez les doublons Conseil Regional/ Départements, cessez d'embaucher du fonctionnaire dans le territorial (contrairement à ce qui est affiché...), poursuivez la réforme de l'éducation nationale, cessez de craindre la fonction publique, réformez intelligement un système de solidarité nationale trop souvent détourné, produisez des gains de productivité et redistribuez les...à ceux qui vous on dit ce Week end par l'abstention que pour le momment, vous ne valiez pas mieux que la Gauche. Vous etes bosseurs, et bien soyez aussi courageux et ambitieux. Un con qui marche vaut mieux qu'un intellectuel assis.
Labels: avant réforme..
INFO LCR : Le malheur des uns...
Tuesday, November 20, 2007
Charitée bien ordonnée...
Monday, May 07, 2007
Fin de la Récré.
Friday, May 04, 2007
SYNDICATS : L'Ennemi totalitaire
La base de ces organisations a donc pour but :
1-Assurer un nombre suffisant de militants pour mobiliser et permettre le blocage d’une Structure
2-Propager l’idéologie de la lutte des Classes et ses principes d’opposition au prétexte de la défense des conditions du Salarié
3-La mise en œuvre opérationnelle des actions d’envergure, sur ordre du niveau central, afin de promouvoir l’illusion de représenter la majorité des travailleurs, et plus généralement même, la prétention de représenter l’ensemble des citoyens.
Au sein même de la structure ou de l’entreprise dans laquelle il est implanté, le syndicat, bien que d’obédience Marxiste, se compose d’une structure bien hiérarchisée, et compte des chefs, des représentants, qui animent et coordonnent les activités précitées. Ce niveau de « management » localisé est lui-même subordonné, rend compte et obéi scrupuleusement aux directives des instances Nationales. En aparté, l’auteur ne peut ici que conseiller vivement à tous citoyen curieux d’effectuer une petite visite des luxueux bâtiments de ces défenseurs de la Veuve et de l’opprimé. On ne peut que rester pantois devant un goût si ostensiblement prononcé pour les belles choses. Peut être la folie des grandeurs ? Toute plaisanterie mise à part, la Mégalomanie, le faste et la démesure suspecte des bâtiments qui abritent ces institutions ne sont malheureusement pas incohérente avec le pouvoir dont dispose effectivement cette institution. L’impact moral, économique et social de ces organisations ne peut se mesurer qu’à l’aune de l’utilisation Politique de la cause des salariés. En effet, le niveau central de ces organisations a pour but ultime :
1-Coordonner les actions d’agitation en un faisceau cohérent et politiquement utilisable
2-Assurer la pérennité de l’organisation sur l’échiquier Médiatique, au besoin en soulevant des crises et en attisant la grève (ce qui du reste est une activité menée quotidiennement)
3-Définir, transmettre et propager au sein de sa base l’argumentaire et les revendications propres à assurer les conditions les plus favorables à l’obtention de financements directs et indirects. On peut retenir deux piliers du dispositif : demande d’effectifs et de budgets toujours plus importants pour les Organismes infiltrés, entretenir les mythes et l’insatisfaction de la base.
Le Pouvoir Syndical Central se situe donc, bien loin de idéalisme sincère de la plupart des militants de la base, au niveau Politique et Financier. Les actions menées par les branches subalternes n’ayant pour but fianl que de servir les intérêts du Pouvoir Central au profit du politique. Le blocage systématique du pays, particulièrement visible et efficace dans le service Public (Transports ferroviaire, Energie..), demeure en cela l’action de guérilla sociale la plus extraordinaire pour le pouvoir syndical. Et c’est en cela que la maison du Service Public lui est si précieuse. Sans ce levier d’action, le Syndicat ne peut mener d’actions médiatiques susceptibles d’être récupérables par les partis Politiques anti-constructifs et conservateurs de la Merveilleuse Gauche Plurielle Francaise..
Pour s'enrichir intellectuellement :
http://www.force-ouvriere.fr/
Friday, April 06, 2007
BAYROU
Monday, February 26, 2007
Savez vous que vous payez 50% d’impôts ?
Par Albert LI – Première publication le 1er Février 2002 – Dernière modification le 25 septembre 2006
C’est pourtant totalement faux. La vérité est complètement différente, opposée même.
La vérité, c’est non seulement que nous payons tous des impôts, que l'on soit au SMIC ou que l’on gagne un gros salaire, mais en plus, que nous payons tous environ 50% d’impôts (40% pour les personnes payés au SMIC, plus de 60% pour ceux ayant un gros salaire). Autrement dit, vous ne le savez sans doute pas, mais l’Etat vous prend chaque mois la moitié de votre salaire !
Cela vous étonne ? Vous ne voyez pas comment l’Etat pourrait vous prendre chaque mois la moitié de ce que vous gagnez ? C’est pourtant la stricte vérité et vous allez pouvoir le vérifier par vous même tout de suite.
Les calculs qui vont suivre seront extrêmement simples. Pour les faire vous-même et vérifier ainsi que l’Etat vous prend bien chaque mois la moitié de votre salaire (les salaires de votre foyer si vous êtes marié), il vous suffit de vous munir de votre dernier bulletin de paie (et de celui de votre conjoint donc), de tous vos avis d’impositions de l’année dernière (impôt sur le revenu, taxe d’habitation, redevance télé, etc…) et d’une calculatrice.
Si vous possédez un logiciel capable de lire les fichiers Excel, pour encore plus de facilité, vous pourrez utiliser notre
Enfin, si vous ne voulez pas faire de calculs et fouiller dans vos papiers administratifs (ce qui peut se comprendre), il vous suffira de suivre les exemples suivants basés sur des cas réels (le détail des données et des calculs relatifs à ces exemples figurent dans notre feuille de calcul ) :
Stéphane est payé au SMIC, soit un salaire net de 1.050 € par mois (6.500 F). Il paie néanmoins chaque mois 600 € d'impôts (4.000 F) ! Il a un taux d'imposition de 40% !
Claire gagne un salaire net de 1.300 € par mois (9.000 F). Elle paie néanmoins chaque mois 1.200 € d’impôts (8.000 F) ! Elle a un taux d’imposition de 54% !
Pierre gagne un salaire net de 2.800 € par mois (18.500 F). Il paie néanmoins chaque mois 2.900 € d’impôts (19.000 F) ! Il a un taux d’imposition de 58% !
Vous gagnez beaucoup plus d’argent que vous ne le pensez !
Pour commencer, établissons quel est votre salaire. Savez vous combien d’argent vous gagnez par votre travail ? Savez vous quel est votre salaire ?
Vous me répondrez sans doute que oui.
Permettez moi cependant d’en douter. Pour ne pas connaître votre salaire, vous avez en effet une très bonne excuse : le bulletin de paie français n’a vraiment pas le mérite d’être clair sur la question (ce qui est pour le moins paradoxal pour un bulletin de paie)
D’après vous, votre salaire, c'est le salaire net ? Le salaire brut ?
La réponse est : ni l’un, ni l’autre ! Vous gagnez plus que votre salaire brut, bien plus ! (40% de plus environ)
En effet, votre salaire, c’est tout l’argent que votre employeur est prêt à payer en échange de votre travail. En échange de votre travail, votre employeur vous verse un certain salaire brut certes, mais il paie également les charges patronales correspondant à ce salaire brut aux organismes sociaux (caisse d’assurance maladie publique, caisses de retraite publiques, etc…).
Si votre employeur accepte de payer l'ensemble de cette somme - votre salaire brut plus les charges patronales - c'est qu'il juge que le travail que vous effectuez pour lui vaut bien cette somme. Votre véritable salaire, c’est donc votre salaire brut plus les charges patronales.
Certains diront que ces charges patronales ne font pas partie de votre salaire, que votre employeur ne les paie pas en reconnaissance de votre travail mais parce qu'il y est obligé par la loi.
C'est encore une fois complètement faux. Votre employeur est certes "obligé" par la loi de payer ces charges patronales. Mais il n'était absolument pas "obligé" de vous embaucher (et il savait alors parfaitement qu'il aurait à payer, en plus de votre salaire brut, les charges patronales). De plus, si votre employeur jugeait que votre travail ne vaut pas le salaire brut et les charges patronales qu'il paie pour vous, il serait parfaitement libre de vous licencier. Votre employeur n'est en effet absolument pas "obligé" de vous garder dans son entreprise.
Non, si votre employeur accepte de payer votre salaire brut plus les charges patronales, c'est qu'il juge que le travail que vous effectuez pour lui vaut bien cette somme. Votre véritable salaire, c’est donc bien votre salaire brut plus les charges patronales.
Pour calculer votre véritable salaire ( salaire qui ne figure donc même pas sur le bulletin de paie français !), il vous suffit d’additionner à votre salaire brut, le total de vos charges patronales qui figure habituellement en bas à droite du bulletin de paie.
Salaire = Salaire brut + Total des charges patronales
Exemples :
Le salaire de Stéphane, qui touche le SMIC, soit 1.050 € net par mois (6.500 F), est en réalité de 1.500 € par mois (9.700 F) ! (Un salaire brut de 1.250 € plus 250 € de charges patronales)
Le salaire de Claire, qui touche 1.300 € net par mois (9.000 F), est en réalité de 2.250 € par mois (15.000 F) ! (Un salaire brut de 1.650 € plus 600 € de charges patronales)
Le salaire de Pierre, qui touche 2.800 € net par mois (18.500 F), est en réalité de 5.000 € par mois (33.000 F) ! (Un salaire brut de 3.600 € plus 1.400 € de charges patronales)
Combien d’impôts payez-vous sur ce salaire ?
Maintenant que vous connaissez votre véritable salaire, déterminons combien d’argent l’Etat vous prend en impôts sur cette somme.
Il est à noter que nous parlerons ici d'Etat et d'impôts au sens large. Par le terme "Etat", nous désignerons aussi bien l'Etat proprement dit que les organismes sociaux (la sécurité sociale par exemple). Par le terme "impôt" nous désignerons aussi bien les impôts proprement dit que les cotisations sociales (cotisations retraite, assurance maladie). Ce qui nous importe en effet dans ce texte, c'est de déterminer combien d'argent l'Etat (au sens large) vous prend sur votre salaire en impôts (au sens large toujours). Ce n'est pas de rentrer dans les passionnantes subtilités de nos administrations publiques.
Poursuivons notre propos donc.
Vous payez successivement trois sortes d’impôts :
D’abord les impôts prélevés à la source (CSG, RDS, charges sociales).
Ensuite les impôts directs (impôt sur le revenu, redevance télé, taxe d'habitation, ...).
Enfin les impôts indirects (TVA, taxes sur l'essence, droits de mutation,...).
Nous allons voir combien d‘argent l’Etat vous prend à chaque fois.
Les impôts prélevés à la source : La CSG, la RDS et les charges sociales
Les impôts prélevés à la source figurent sur votre bulletin de paye.
Il y a d’abord la CSG et la RDS. Enfin, il y a l’ensemble des charges sociales. Comme nous l’avons vu, il n’y a pas de subtiles distinctions à faire. Qu’on les appelle charges salariales ou bien, à tort, charges patronales, de toute façon, c’est vous qui en réalité les payez par votre travail.
Il est inutile de vous lancer dans une longue addition de tous ces montants pour savoir combien vous payez exactement de ces impôts. Ce qui vous reste de votre salaire après cette première vague d’impôts, c’est votre salaire net (1). Pour savoir, combien d’impôts prélevés à la source vous payez, il vous suffit donc de soustraire votre salaire net à votre salaire.
Impôts prélevés à la source = Salaire – Salaire Net
Exemples :
Stéphane, qui touche le SMIC, soit 1.050 € net par mois (6.500 F), paie donc 450 € (2.800 F) d'impôts prélevés à la source chaque mois ! Son véritable salaire est en effet de 1.500 € par mois (9.700 F).
Claire, qui touche 1.300 € net par mois (9.000 F), paie donc 900 € (6.000 F) d’impôts prélevés à la source chaque mois ! Son véritable salaire est en effet de 2.250 € par mois (15.000 F).
Pierre, qui touche 2.800 € net par mois (18.500 F), paie donc 2.200 € (14.500 F) d’impôts prélevés à la source chaque mois ! Son véritable salaire est en effet de 5.000 € par mois (33.000 F).
Les impôts directs : Impôt sur le revenu, taxe d’habitation, redevance télé, …
Les impôts directs sont l’impôt sur le revenu, la taxe d’habitation, la redevance télé… bref, tous ceux pour lesquels vous recevez chez vous un avis d’imposition. Je ne saurai vous en donner la liste complète mais je pense que vous connaissez bien ces impôts, ceux que vous payez du moins, ainsi que leurs montants respectifs.
Additionnez donc tous les impôts de ce genre que vous avez payé l’année dernière.
Afin de déterminer combien d’impôts directs vous payez par mois de salaire, divisez le total que vous avez obtenu par 12 (13 si vous êtes payé sur 13 mois, etc…)
Impôts directs par mois de salaire = Impôts directs par an / Nombre de mois de salaire
Après cette deuxième vague d’impôts, il vous reste sur votre salaire, votre salaire net moins les impôts directs par mois.
Exemples :
Stéphane n'a payé aucun impôts directs l'année dernière. Après les impôts prélevés à la source et les impôts directs, il ne lui reste donc que 1.050 € (6.500 F) sur son salaire de 1.500 € (9.700 F) ! Et ce n'est pas encore fini !
Claire a payé l'année dernière 1.246 € d'impôt sur le revenu et 216 € de taxe d'habitation. Elle est payée sur 12 mois. Claire, qui touche 1.300 € net par mois (9.000 F), paie donc 120 € (900 F) d’impôts directs par mois ! Après les impôts prélevés à la source et les impôts directs, il ne lui reste donc que 1.200 € (8.000 F) sur son salaire de 2.250 € (15.000 F) ! Et ce n'est pas encore fini !
Pierre a payé l'année dernière 3.821 € d'impôts sur le revenu, 116 € de redevance télévision et 216 € de taxe d'habitation. Il est payé sur 12 mois. Pierre, 2.800 € net par mois (18.500 F), paie donc 350 € (2.300 F) d’impôts directs par mois ! Après les impôts prélevés à la source et les impôts directs, il ne lui reste donc environ que 2.500 € (16.000 F) sur son salaire de 5.000 € (33.000 F) ! Et ce n'est pas encore fini !
Les impôts indirects : TVA, TIPP, etc…
Vous avez payé les impôts prélevés à la source ? Vous avez payé les impôts directs ? Il vous reste encore à payer les impôts indirects.
Ces impôts sont extrêmement bien cachés. Ils sont partout et pourtant on ne les voit jamais ! Il s’agit des impôts sur la consommation. Nous les payons à chaque fois que nous faisons un achat.
La liste de ces impôts est longue : TVA, TIPP (taxe sur l’essence), taxe sur les alcools, taxe sur le tabac, droits de mutation (frais de notaire)… je ne saurai les citer tous.
Le principal impôt de ce type est la TVA. Sur la majorité des produits, le taux de la TVA est d’environ 20%. Cela veut dire que sur un article qui vaudrait normalement 100 euros, il faut en plus payer une taxe de 20 euros. L'article revient donc à 120 euros au lieu de 100. L'argent versé à l'Etat en TVA représente donc 16,6% de la dépense ( 20 divisé par 120 ). Autrement dit, à chaque fois que vous achetez pour 1.000 euros de produits soumis à la TVA, vous payez 166 euros d’impôts.
Pour déterminer combien d’impôts indirects vous payez par mois, nous allons être obligé de faire une approximation.
En effet, selon les périodes, vous payez plus ou moins d’impôts indirects selon que vous choississez de dépenser votre argent ou au contraire d’épargner. Enfin, selon les produits ou les services que vous achetez, les taux appliqués sont différents. Si le taux de la TVA est en général d’environ 20%, le taux de la TIPP (taxe sur l’essence ) est lui beaucoup plus élevé (70% environ), certains produits sont exemptés de taxes, etc…Ce serait donc très difficile de dire exactement, combien d’impôts indirects vous payez.
Une chose certaine en revanche, c’est que tout l’argent que vous gagnez, vous finirez bien par le dépenser un jour. Pour calculer combien vous payez d’impôts indirects en moyenne par mois, nous ferons donc comme si vous dépensiez dans le mois tout ce qui reste de votre salaire après les deux premières vagues d’impôts.
Enfin, nous considèrerons que vous payez 15% d’impôts indirects sur toutes vos dépenses ce qui ne me semble pas excessif. La formule pour déterminer approximativement combien vous payez d’impôts indirects par mois sera donc la suivante :
Impôts indirects = ( Salaire net – Impôts directs par mois ) x 15 / 100
Exemples :
Stéphane, qui touche le SMIC soit 1.050 € net par mois (6.500 F), paie donc 150 € (1.000 F) d’impôts indirects par mois !
Claire, qui touche 1.300 € net par mois (9.000 F), paie donc 180 € (1.200 F) d’impôts indirects par mois !
Pierre, qui touche 2.800 € net par mois (18.500 F), paie donc 350 € (2.400 F) d’impôts indirects par mois !
Vous payez bien 50% d’impôts !
Vous voilà arrivé au bout de vos peines. Vous avez maintenant payé tous vos impôts.
Pour connaître combien d’impôts vous payez au total par mois, il vous suffit d’additionner les trois montants d’impôts que vous avez calculé précédemment.
Pour connaître votre taux d’imposition, il vous suffit de diviser ce total par votre salaire et de multiplier le tout par 100.
Taux d’imposition = ( Total des impôts / Salaire ) x 100
Vous pouvez constater que vous payez bien environ 50% d’impôts ! L’Etat vous prend bien environ la moitié de votre salaire !
Exemples :
Stéphane, qui touche le SMIC soit 1.050 € net par mois (6.500 F), paie donc bien 450 + 0 + 150 = 600 € (4.000 F) d'impôts chaque mois ! Son vrai salaire étant de 1.500 € par mois (9.700 F), il a bien un taux d’imposition de 40% !
Claire, qui touche 1.300 € net par mois (9.000 F), paie donc bien 900 + 120 + 180 = 1.200 € (8.000 F) d'impôts chaque mois ! Son vrai salaire étant de 2.250 € par mois (15.000 F), elle a bien un taux d’imposition de 54% !
Pierre, qui touche 2.800 € net par mois (18.500 F), paie donc bien 2.200 + 350 + 350 = 2.900 € (19.000 F) d’impôts chaque mois ! Son vrai salaire étant de 5.000 € par mois (33.000 F), il a bien un taux d’imposition de 58% !
Comment augmenter le salaire de tous les français de 30% !
L’Etat nous prend donc tous environ la moitié de notre salaire.
Il faut néanmoins reconnaître qu’en échange, l’Etat nous rend un certain nombre de services. L’Etat s’occupe de notre sécurité (Justice, Police, Armée). Il construit des routes, des voies ferrées, des infrastructures. Il s’occupe de l’éducation des enfants. Il nous donne une assurance maladie à nous et à notre famille. Avec un peu de chance, il nous donnera un jour une retraite (mais rien n’est moins sûr). Enfin, il s’occupe de la solidarité, il vient en aide à ceux qui sont dans le besoin, qui traversent une passe difficile.
Tout cela n’est pas rien. Pour nous assurer tous ces services, il faut bien que l’Etat nous en demande les moyens, il faut bien que nous en payions le prix.
Il est donc parfaitement normal que nous payions tous des impôts.
Ce qui n’est pas du tout normal en revanche, c’est que nous payons actuellement les services de l’Etat beaucoup, mais alors beaucoup trop chers. Il serait tout à fait possible selon moi de réduire le coût des services aujourd’hui assurés par l’Etat de manière extrêmement importante, de 30% par exemple, et cela sans en diminuer la qualité bien au contraire.
Si l'on réduisait le coût des services aujourd’hui assurés par l'Etat de 30%, le salaire après impôts de tous les français augmenterait alors d’autant, d'environ 30%. Tous les français auraient alors l’équivalent de 4 mois de salaire supplémentaires pour vivre !
Pour savoir exactement quelle somme d'argent vous auriez en plus par mois de salaire si les impôts baissaient de 30%, il vous suffit d'appliquer la formule suivante :
Somme supplémentaire = Total des impôts par mois x 30 / 100
Vous toucheriez donc l'équivalent d'une augmentation de :
Augmentation = ( Somme supplémentaire / Salaire après impôts ) x 100
Exemples :
Stéphane, qui gagne le SMIC soit 1.050 € net par mois (6.500 F), toucherait une somme supplémentaire de 180 € par mois (1.200 F) soit l’équivalent d’une augmentation de son salaire après impôts de 20% !
Claire, qui gagne1.300 € net par mois (9.000 F), toucherait une somme supplémentaire de 350 € par mois (2.400 F) soit l’équivalent d’une augmentation de son salaire après impôts de 35% !
Pierre, qui gagne 2.800 € net par mois (18.500 F), toucherait une somme supplémentaire de 850 € par mois (5.500 F) soit l’équivalent d’une augmentation de son salaire après impôts de 42% !
Wednesday, January 24, 2007
Rééquilibrer la balance de "l'effort"? Réponse à Claude
Peut etre est il temps que l’entreprise puisse à nouveau et pleinement exercer son rôle social premier et naturel : assurer l’emploi et l’activité de tous à travers une croissance et un développement qui favorise l’emploi et le savoir faire francais par l’activité par et sur le sol francais à destination des marchés nationaux et internationaux.
La précarisation de l’emploi est d’abord et avant tout le fait d’une absence de visibilité et de compétitivité du travail salarié en France. Soyons plus précis : nous ne manquons pas de Savoir Faire, ni de motivation, ou de technologies. Bien au contraire. L’exploitation fiscale, sociale, et politique du travail salarié nous prive de la liberté d’essayer, de tenter l’aventure de la réussite, bref de rêver. Et d’en faire une réalité. L’entreprise est en panne. L’emploi est en panne. Le marché de l’emploi francais est aussi dynamique qu’une flaque de boue gelée au bord de le l’autoroute un beau Dimanche matin de Janvier. Nous laissons mourir notre héritage Industriel, culturel, économique au profit d’un Etat Macro dont l’inconscience en la matière n’a d’égal que son incompétence, corrompu par un système de financiers déconnectés de la réalité sociale et pour lesquels le crédit d’Etat a depuis longtemps supplanté l’épargne privée, l’investissement industriel, le pari sur la bonne santé économique et le développement en terme de priorité commerciale. Mais c’est encore l’occasion de manger à tous les râteliers. la paupérisation, la précarité et la misère conséquentes à cette destruction de l’activité économique donne lieu à une course effrénée au crédit à la consommation. Une occasion supplémentaire de vendre des intérêts, cette fois à la partie du peuple qui ne paie pas l’impôt. Ainsi, rien ni personne n’est laissé au hasard. Mieux encore, le citoyen défavorisé (client) est bel et bien solvable puisqu’il bénéficie de garanties offertes par les prestations sociales. Tout est relatif, bien sur. Mais les pauvres sont malheureusement les plus nombreux ainsi que les plus nécessiteux de contracter un crédit à la consommation. Mais n’es ce pas avec des gouttes d’eau que l’on parvient à l’Océan, un océan de misère, de sur endettement, de dépression, d’immobilisme, de discours, du grotesque? Si la France était un navire, Le capitaine serait les Banques, les Politique tiendraient la barre, l’entreprise et les salariés du Privé rament, Bercy tiens le fouet, les chômeurs écopent, et les fonctionnaires sont en croisière d’agrément. Nous sommes acculé. Contre toute intelligence, ces deux forces, l’une Socialo Marxiste, l’autre Capitaliste Usurière, en leur alliance faussement contre naturelle, nous mènent tout droit à la faillite du travail, de nos Entreprises, de notre système social tout entier. En détruisant notre compétitivité économique par le fiscalisme et l’exploitation du travail salarié et de l’Entreprise, la Sociale Médiocratie favorise l’endettement de l’Etat qui profite entièrement à ses créanciers, à savoir les Banques. Le capital a depuis longtemps abandonné la mise créancière sur l’investissement, pour concentrer son attention sur un client bien plus solvable : la Nation toute entière. Ainsi l’impôt qui nous est vendu comme un mal nécessaire à la solidarité nationale n’est de fait que la transaction déguisée du solde de l’encaissement des intérêts qui viennent engraisser une clique de Financiers dégénérés. Voici le vrai visage de l’impôt. Voici aussi le vrai visage de la misère. L’impôt, out à la fois cause et cause conséquence. Et voici aussi le vrai visage du Capital. La boucle est bouclée. La ceinture se resserre sur nos ventres amaigris, salariés, créateurs d’activité, sans emplois, salaires dérisoires et, c’est un comble, in fine, la faute sera celle de l’Entreprise, cause de tous les maux économiques et sociaux. L’affaire est si finement ficelée que nos bons politiciens socialocrates bien pensants, en retour de leur besogneux travail d’augmentation perpétuelle d’une dette désormais abyssale, reçoivent par mandat démocratique leur misérable solde. Ces hommes n’on aucunement conscience de la gravité de leurs actes, qui dépassent pourtant de loin le simple péché d’orgueil. Pour leur défense s’ils pouvaient toutefois être défendus, il est vrai que cette clique de crétins ne sont qu’une pièce subalterne du processus d’endettement du Client le plus solvable qui soit, le plus Royal : L’Etat, la Nation toute entière, et peu importe le nombre de générations. Nos enfants et les enfants de nos enfants seront écrasés par le poids toujours croissant de l’impôt. Non content de briser les bonnes volontés, l’étranglement de l’activité par l’endettement permet la conservation de niveaux de salaires bas, d’un pouvoir d’achat limité et par conséquent limite gravement la consommation , et donc la croissance sur le marché intérieur, et finalement l’emplois. En revanche, un pouvoir d’achat réduit favorise d’autant le recours à l’emprunt bancaire. La situation est si dramatique que nombreux sont les salariés qui ne peuvent faire face au stricte nécessaire, bien qu’exerçant avec sérieux une activité à temps plein. Bien entendu ils ne peuvent prétendre à aucune aide que ce soit, et se trouvent alors contraint de recourir au crédit. Un crédit social. Si le chien est le meilleur ami de l’homme, le Politique est le meilleur ami du capital, fidèle compagnon affamé d’un maître toujours plus gras. Ainsi l’on est mieux en mesure d’apprécier dans quelle proportion l’asphyxie fiscale est mise en œuvre par l’une ou l’autre formation politique portée alternativement au Pouvoir. Mais le caniche ne fait pas toujours dans le caniveau, et il faut sans cesse veiller à l’entretien et à la promotion de la justification d’un pillage fiscal sans cesse croissant. En cela le détournement des principes sociaux sont vitaux. Une escroquerie réussie fonde souvent sa son succès sur le fait qu’elle se construit autour d’une verité inattaquable, d’un bon sentiment. Ainsi, l’équation de l’escroquerie Etatique pourrait étre la suivante : le besoin Social rend indispensable l’effort fiscal. Certes. Ligne suivante : l’augmentation de la pression fiscale ruine l’économie et favorise la misère. Ligne suivante, la misère augmente le besoin en social, et donc, la pression fiscale. D’ou l’on peu se convaincre que l’intérêt de nos dirigeants à agir contre la misère, indépendamment du parti, est inexistant, voir plutôt contre productif en ce qui les concernent. Ainsi, les mécanismes de la « vente de l’impôt » passent par le Marketing Social, pour aboutir à la misère, tout comme en des époques plus reculées le militarisme passait par les nationalismes et la peur du voisin, pour aboutir à la boucherie et à une improbable hégémonie territoriale.
Sunday, December 17, 2006
Joyeux Noel!
Comme chacun sait, Papa Noel s'habille en rouge. Merci au Légionnaire anonyme pour ce petit tract plein de bons sentiments d'assistanat. Amusez vous à chiffrer les 5 mesures phares évoquées et convertissez en l'effet sur la dette de l'Etat... Joyeuses fetes aux Banques créancières de notre belle république sovietique.
Monday, November 13, 2006
Sunday, October 01, 2006
La Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR), c'est quoi?
Bien que fondée voici 30 ans, son action "engagée" regroupe pour beaucoup de braves et jeunes crétins laxistes, dociles, et souffrant d'un grave manque affectif, intellectuel et de reconnaissance. l'ambition de la LCR s'exprime tout autant à travers la bonne vielle lutte sociale "capital" contre "peuple" qu'au travers d'une passion de la manifestation. Toutes les occasions sont bonnes pour sonner le rassemblement. En ce sens , la LCR rassemble beaucoup d'étudiants Universitaires nantis et privilégiés des grands centres urbains, jamais rassasiés d'une bonne "teuf" entre bobos révolutionnaires. Notons que la notion de lutte se limite aux slogans et à la consommation de bière et de H, comme à l'occasion des manifs anti-CPE ou nos vaillants Rougets se sont fait piteusement massacré par leurs trés chers "protégés" les casseurs. Ils ne doivent leur survie qu'à l'intervention des militants CGT dont nous reparlerons, et qui sont un ennemi nettement plus serieux dans le gauchisme. Il ne faut pas se priver de se glisser parmis le joyeux cortège LCR pour se rendre compte de la suprficialité de l'engagement de ses membres dont la rencontre du sexe opposé sur fond de Mai 68 est la première motivation. Signe particuliers : faible capacité intellectuelle, style vestimentaire entre Janis Joplin, un clochard et Yasser Arafat. Dangerosité : nulle. Motivation : nulle. Crédibilité : 0. Membre type : Etudiant en Sociologie, histoire de l'Art, faux intellectuel, Jongleurs, Teufards de toutes zones. En conclusion, la LCR est plutot un sujet de détente, d'étude et de loisir qu'un réél Danger. Cependant, il est trés fatiguant d'échanger trop longtemps avec les membres, donc ne pas abuser des bonnes choses. Dérnier point, son leader qui personnifie assez bien l'esprit de l'organisation, O B 1, un jeune frustré en quète d'aventures feminines et qui a trouvé en l'utopie romantique Marxiste les moyens de camoufler une personnalité de médiocre looser.
Le Parti Socialiste, c'est quoi?
Qu'es ce que la C.N.T, quand la Gauche est contre la Gauche?....
Friday, September 22, 2006
LA RENTREE DES "CLASSES"
La rentrée Politicienne nous propulse au coeur d'intrigues dignes d'un excellent Fondation d'Azimov. L'occasion se prête de hâter la défaite des terroristes de la pensée unique. La division des chefs de partis politiques de gauche ne fait que commencer, alors qu'approche le temps du choix du glorieux (se) candidat(e). DSK, Lolo, Jospinou, Francois, son épouse Jack, le NPS, le MJS, les bloggs, les verts avec ou sans OB1, OB avec ou sans Arlette, Marie georges avec ou sans chacun des précedents. La valse est étourdissante. Chacun d'entre nous possède dans ses relations des électeurs potentiels de gauche. Il convient de tout faire afin de répartir au mieux cet électorat dans les divers Mouvements minoritaires satellites du PS, ceci au but de dilluer l'impact de ces contributions à la proportionnelle. Pour cela, la méthode est simple : stigmatiser le PS comme un parti trop Libéral, vendu aux intérêts du Capital (DSK), trop éloigné des la véritable doctrine socialiste du combat révolutionnaire (Jospin), le PS n'est de plus pas assez anti-Européen (Lolo) et trop réactionnaire (Sego). Insistons particulièrement auprès des jeunes socialistes si affectueusement épris de romantisme. J'ai moi même éprouvé la méthode, et il semble peu difficile de convaincre un socialiste PS de se radicaliser un peu. L'exercice est aussi ludique qu'utile. Chaque voix compte. Amusez vous bien. Diviser pour mieux régner.
PS : Pour les Cassandres, le but n’est pas ici de favoriser le FN, qui de toute façon fera bon score nourri par le seul nulisme de nos énarques, mais bien de favoriser la droite conventionnelle.
Tuesday, August 29, 2006
Yes I! OB 1 organise l'Université d'Eté de la LCR à la playa !!!
Monday, August 07, 2006
Platon Vs Hollande?...Platon ou l'Exes de Liberté
République, VIII, 562b-563e
Comme le montre le contexte, la critique de Platon ne se limite pas aux jeunes, mais vise la société tout entière, jeunes et vieux, hommes et femmes, citoyens et étrangers, maîtres et esclaves, et s'étend même jusqu'aux animaux, quand trop de liberté est laissée à tous.
Wednesday, August 02, 2006
DETOURNEMENT du droit à la différence , DICTATURE DE LA PENSEE UNIQUE
Tout comme concernant le Parlementarisme en Politique, l’expression permanente de la confrontation des idées fini par aboutir à ce qui ressemble à une pléthore de bavardages dont l’unique résultat concret ne peut plus être que la seule satisfaction d’avoir mené la conversation, sorte de joute moderne dont l’arène demeurerait désespérément stérile. Car l’amoncellement d’idées, leur enchevêtrement quasi partousesque dans une profusion de banquet ne procède, in finé, qu’à décrédibiliser chacune de ces idées en les noyant dans la masse informe de toute les autres, et finalement à ruiner leur substance, ou leur absence de substance, leur pertinence éventuelle. Ceci est aussi regrettable que préjudiciable à l’expression de la démocratie qui devrait permettre l’émergence des idées les plus riches au profit du bien collectif. Précisément en cela, cet état de fait, cette fatalité inique permet le triomphe des médiocres et des ambitieux, au détriment de l’intelligence et de l’action. Or ce phénomène parlementaire, par imitation ou par mimétisme, s’est désormais fait jour au sein de la société civile, rendant finalement le citoyen électeur aussi peu attentif que possible en le noyant dans ses propres satisfactions de bavardeur, de penseur compromiste, de parfait équilibriste du « zero », échangeant avec ses pairs dans le cadre moisi et prudemment restreint du politiquement correct, ne risquant à aucun prix d’être exclu des précieuses faveurs du petit cercle, à savoir une estime hypocrite et la promesse indéfectible d’appartenir à une belle et grande famille. Au sein de la société civile, en réalité, l’apparente toute liberté a comme premier effet un sentiment profond de solitude et d’isolement, qui au delà l’illusion auto entretenue résulte de la frustration bien légitime d’un manque de sincérité et de valeurs, sans lesquelles l’individu ne peut s’épanouir socialement. Cette frustration résultant d’un manque d’ouverture du champ intellectuel par autocensure est probablement à l’origine du malaise francais et de la fameuse morosité générale. Car en matière d’échanges humains également, profusion ne signifie pas richesse.
Le problème que pose la limitation des idées à un cône de tolérance du Politiquement correct est bien entendu la limitation de la réflexion à un champs réduit et bien souvent borné à des considérations de nature purement idéologiques et rigides, étouffant dans l’œuf toute possibilité d’innovation intellectuelle et les solutions pouvant en émaner. Le Media, vecteur moderne d’échange, et en particulier le Media télévisuel, est ici l’arbitre partial, le gardien servile de l’information, mais encore des limites de ce cône de réduction. Mieux même, il a vocation à conserver l’illusion d’une liberté totale, particulièrement à travers le bombardement de niaiseries aussi diversifiées que subversives. La vente d’une certaine forme de débilité soporifique, la promotion de la pensée proprette, le sacre du « gnan gnan dégoulinant », le triomphe des « insignifiances » aura parachevé l’œuvre initiée au sein des pouvoirs politiques de faire du citoyen électeur un animal docile, pathologiquement convaincu de son indépendance de pensée, et par ailleurs finement égoïste, parfaitement grégaire et profondément poltron. Il faut se rendre à l’évidence que le dogme de la pensée unique représente un formidable outil de censure à l’usage du Pouvoir. En effet, il est alors pleinement possible de discriminer toute brebis égarée en catégorisant son positionnement pour la décrédibiliser puisque étant située hors du cône de niaiserie (idée jugée trop compliquée, donc ennuyeuse et donc peu populaire), ou bien hors du cône du « politiquement correct » (c’est le cas idéal lorsqu’une idée peut, de prés ou de loin, être qualifiée de réactionnaire, fasciste, anti démocratique, ou comble du luxe : anti sociale). On pourra au passage se faire la réflexion que le pouvoir politique sait parfaitement combiner son discours officiel dans les limites de ces deux cônes superposés: celui de la niaiserie « populaire » des plateaux télé, télé réalité, incident sensationnel, grandes offuscations officielles, bref, le kitch, et le cône du « politiquement correct », caractérisé par une incapacité inique à évoluer, à mettre en œuvre, à décider, à innover, bref, à diriger un pays. Il semblerait que la décadence Politique ai déteint sur le citoyen, et par conséquent sur le moteur même du système démocratique, en faisant des citoyens des militants inconditionnels de l’insignifiant, prisonniers béats de carcans de pensés et d’idéologies moribondes et ruineuses, marchant comme un seul homme à la ruine de leur pays, arborant le sourire niais du dépressif anesthésié, ne serais ce que pour ne pas risquer d’être seul, meme libre. Sous couvert du droit à la différence, la pensée unique permet à une démocratie l’obtention des moyens de censure d’une dictature. La seule différence est que le tube cathodique a remplacé la matraque. C’est, à n’en pas douter, moins douloureux, mais tout aussi efficace, et ce, dans la pereinité, le silence et la discrétion, mieux même, le peuple la réclame .
Quelques équations triviales de discrimination de la pensée unique,
DICTIONNAIRE DE LA DICTATURE DE LA PENSEE UNIQUE :
Ne pas être d’accord avec les mouvements syndicaux
= être un fasciste réactionnaire anti social et égoïste
Se lasser des mouvements de grève à répétition
= être un Capitaliste égoïste
Dire que la notion de performance doit exister au sein du Service Public
= être un anti Fonctionnaire et vouloir la mort du Service Public
Dire que la restauration de la discipline et de l’autorité à l’école est un préalable indispensable à l’éducation des élèves = être un fasciste
Dites seulement que vous aimez votre pays et que vous vous souciez de la situation
= vous etes un nationaliste
Etre favorable à la suppression des allocations pour responsabiliser les parents qui laissent leurs enfants mineurs sans aucun contrôle errer et sécher l’école = être un abominable exterminateur fasciste raciste anti social
Un individu issu des quartiers difficiles met le feu à un bus dont une personne handicapée est prisonnière
= l’individu a des circonstances atténuantes au sens ou il est d’abord victime de l’exclusion, de l’exploitation du Capital, et des aides sociales insuffisantes, de discriminations. Ensuite et seulement ensuite, c’est éventuellement aussi un criminel débilitant.
Ne pas etre d’accord avec le principe de discrimination positive = être raciste
Estimer que la pression fiscale détruit l’économie
= Etre un affreux Capitaliste anti social
Se déclarer favorable au service civil (ou militaire)
= Etre un dangereux réactionnaire (Militariste)
Penser que les droits comportent la contrepartie de devoirs = être un vieux réactionnaire pétainiste
Avoir travaillé dur et réussi professionnellement = être un calculateur égoïste , froid et inhumain
Se déclarer opposé à une idée, mouvement, Loi, ou quelque proposition issu d’un mouvement politique de Gauche
= Etre un dangereux capitaliste anti social réactionnaire raciste et homophobe
S’inquiéter de l’endettement du pays et de ses conséquences = être un vilain réactionnaire capitaliste
Se défendre en cas d’agression par la force si nécessaire
= être un abominable fasciste
Vouloir contrôler les éventuelles fraudes et abus des prestations sociales , considérant que celles ci sont inacceptables, moralement, et économiquement car l’effort de solidarité nationale devrait être réservé strictement à ceux qui en on besoin, le reste étant pire que du vol
= vouloir précariser les plus faibles au profit des horribles salariés égoïstes qui on la chance d’avoir un travail et qui ne payent jamais assez d’impôt
La liste est longue. Lorsque vous y consacrerez quelques instants, à la réflexion, n’étés vous ou n’avez vous pas été, vous aussi, à un nomment ou à un autre, le vilain fasciste réactionnaire anti social égoïste d’un ou de plusieurs utopistes chantants, dont la générosité et les grandes litanies vous auront semblé trop belles pour ne pas être suspecte ?
Sunday, July 30, 2006
Message de Bienvenue au Petit Peuple de Gauche
Ce site ne vous est pas déstiné, et vous n'y etes les bienvenus que pour y apprendre qu'un mouvement prend forme qui s'est fixé le but le plus Noble de détruire votre hégémonie néfaste, de pulveriser l'infection de votre énorme combine, et de liberer la France de la misère résultant de la dictature intellectuelle et économique intolérable dans la quelle vous l'avez plongée.
Nous n'appelons pas au meurtre, rassurez vous. Nous appellons à la déstruction d'un système dans le système, à la déstruction du détournement de la République et de l'usage des institutions Publiques à votre seul profit égoiste.
Nous appellons aussi à l'effort et au combat afin de dénnoncer et de rependre au Monde l'ignoble vérité de vos impostures si subtilement déguisées en humanisme, et de leurs conséquences.
Hollande, l'autre pays du fromage
Thursday, July 27, 2006
Quelques liens vers d'autres sites dénoncant le Gauchisme
Légionnaires, nous ne sommes pas seuls! Voici quelques liens vers d'autres combattants.
http://unispourjeterlagauche.hautetfort.com/
De valeureux camarades de combat. Ils sont particulièrement anti-socialistes et en dénoncent, comme nous, les dangers, les contradictions, les arnaques. Un régal. Tous unis pour jetter la Gauche.
http://labaf.blogspot.com/
Brigade de l'Argent des Francais. Exellent Groupe d'intervention tactique spécialisé dans les opération de traque du Beaucraticus Fiscalis Rex Tyranicus. Trés engagés, au travers d'actions coup de poing sur le terrain, ils sont une réference incoutournable de notre combat. Longue vie à la glorieuse B.A.F!
http://legauchisterepenti.oldiblog.com/
Intelligent et modéré. Un ancien Gauchiste repenti. Cela donnera de l'espoir à chacun d'entre nous. Lorsque les victimes s'émancipent.
http://jugeantigauchistes.googlepages.com/
Le juge anti gauchiste. Particulièrement utile pour les définitions.
http://journalpolitique.blogspot.com/
Beau travail de reflexion Politique. Contient quelques perles virulentes contre nos chers gauchards...
http://www.bafweb.com/
Site d'information alternative qui ne porte pas nos amis bavardeurs dans son coeur..
http://www.subversiv.com/
Un peu de tout. Effectivement subversif.