Tuesday, September 08, 2009

INSPECTAREUS ES TRAVAILLUS

Après une longue absence motivée par la perte des codes de ce blog, votre serviteur est désormais de retour, prêt à pourfendre sans relâche les avatars néfastes et nombreux de le France rose bonbon (avec une nuance bleutée depuis peu mais aucun changement d'envergure).

Pour (re) commencer, j'avais besoin d'un sujet léger et divertissant en ces temps de merdier démago capitalisto pipo, en l'occurrence d'une série d'études de cas.  Piochons dans la caste du gauchiste professionnel, du rouge de combat, du fonctionnaire d'élite.

Aussi tenace que partial, véritable cerbère  du monopole du bien, et doté de pouvoirs étendus, l'inspecteurus es travailus constitue, avec le contrôleur des impôts, un serviteur zélé de la Cause. Sa proie de prédilection : l'entreprise, mais spécialement celle de petite taille, si vulnérable car souvent bien incapable de se trouver en conformité d'un droit du travail en France si parfaitement complexe et inadapté à la conduite d'une activité quelconque. 

 Tel un faucon, (c'est  ainsi qu'il aime parfois secrètement se représenter lui même), il plane au dessus des vastes plaines Prud'hommales, à la recherche du salarié maltraité. Sa vue perçante l'autorise à repérer un plaignant à plusieurs dizaines de kilomètres, dans certains cas à quelques centaines lorsque c'est un champion de l'arrêt maladie, ou un délégué syndical, par exemple. Il fond alors sur sa proie, avec dans son sillage une commette de textes de loi, scintillants déjà comme milles avertissements à la malheureuse entreprise, qui par essence, est toujours coupable et malveillante, quoi qu'il arrive. 

Parfois, comble de bonheur, jouissance sans limite, il arrive  qu'un salarié l'informe, en toute bonne foi bien sur, sans arrières pensées, qu'il croit constater des irrégularités dans son entreprise : Là, c'est la dénonciation ! AhAh, hourra, la bonne vielle méthode, les bons vieux souvenirs ! Mmmmm ! Que-du-bonheur. Ces courageuses dénonciations, très souvent justifiées par la torture, l'exploitation physique, sexuelle, et morale du salarié masqué si vertueux et innocent,  donnent lieue à une action rapide et efficace de contrôle. C'est alors l'alhalie, la curée, sans même y penser,  tel  Zoro mais sans son masque, notre Contrôleur fonce et engage le combat. Aucune vérification n'est nécessaire, il n'y a pas de doute ! On tire d'abord, on discutera ensuite. C'est la Blitzkrieg, pas de cartiers, s'il faut raser Londres, on rasera Londres, la guerre totale est lancée, l'armée mécanisée d'un empire légitime (l'Etat) s'apprête à anéantir un village de paysans incultes  armés de bâtons (l'entreprise) !

Avant d'en arriver à l'action, cependant, cette créature féroce passe d'abord sa prime jeunesse à étudier le droit du travail. Ce sacerdoce  permet aux plus talentueux, un jour, d'y apporter une contribution personnelle. C'est alors pour ceux ci la consécration : faire un ou deux noeuds de plus, abroger, ou plaisir suprême, complexifier encore telle ou telle convention collective en un indescriptible merdier sans queue ni tête sur la base duquel on pourra dresser procès verbal sur procès verbal.

Cette étude intransigeante des méandres du droit du travail tourne souvent à l'obsession. Véritable ayatollah, s'isolant peu à peu du monde réel, le jeune inspecteur débutant perd progressivement tout contact avec les autres êtres humains,  ceux qui travaillent, qui font des choses, exercent une activité quelconque dans un monde réel en 3 dimensions peuplé d'autres hommes. Peu à peu, les arches du monde disparaissent. 
C'est l'étape de l'effondrement vers un monde abstrait en 2 dimensions : celles du format A4. 

A ce stade de lévitation cosmique, libéré des basses contraintes de la réalité, oubliant jusqu'à l'attraction terrestre, le jeune inspecteur est prêt à être nommé, c'est à dire a exercer  son pouvoir de contrôle du respect de la réglementation du droit du travail. Il deviens également de facto un personnage référent pour des milliers de branleurs, une sorte de chef tout puissant et magnanime dont les pouvoirs magiques sauront à coup sur transformer l'incompétence, les petites combines, les mensonges te les relations sociales dans l'entreprise en bon pognon sonnant et trébuchant. A toute condition cependant que :

- Votre entreprise soit de petite taille ou modeste (il n'est pas question, par exemple, de traiter des cas réellement graves d'exploitation du travail ou de risques pour la santé : ex amiante)
- en général, les travailleurs virés comme des malpropres sur délocalisation après 35 ans de loyauté n'ont droit, eux,  à que dalle, mais cela n'intéresse pas l'inspecteur du travail car, tant que le droit et les procédures ont été respectées, tout va bien.

Notre prophète affectionne typiquement de déstabiliser durablement, voire de détruire une petite structure, avec une prédilection particulière pour le petit artisan, Antéchrist bien connu du capitalisme financier, coupable systématique des maux du monde cruel qui est le notre. 

Pour lui, inconsciemment et en général, c'est d'ailleurs à cause de l'entreprise que le monde est si laid. Il souffre souvent, en effet, de constater que la réglementation du travail si parfaite, si vaste, si pure sur le papier, si belle aussi car si impeccablement inapplicable et abstraite, se trouve ainsi souillée de devoir être mise en oeuvre dans le fameux monde réel en 3 dimensions. 

En fin de carrière souvent, notre centurion rouge est devenu un perfectionniste sans tolérance pour les textes eux memes, un poète de la réglementation, un esthète sentimental éternellement blessé que le monde ne perçoive pas la beauté d'un univers de papier, inapplicable, et merveilleusement inutile...


Thursday, March 20, 2008



Les élections municipales sont passées par là.

Sanction, certainement. Pas volée la baffe? En effet. Victoire de la gauche? Bof. Au plan arythmétique, certainement. Au plan politique, le nulisme démogogue rose mou-mou est toujours de mise, meme si l'on note une nette orientation à plus de modestie, à un peu moins de "concept", pas plus.



La vérité est bien plus proche d'un Non Vote sanction d'une trés large majorité d'électeurs de droite un peu dégoutés. Il ne s'agit pas d'un vote sanctioncontre une soit disante dictature néo fasciste qui aurait du résulter de la présence d'un Sarko au pouvoir, mais bien plutot de la molesse des réformes, d'un sentiment désoeuvré que le secteur public est encore le seul à sortir son épingle (certes modeste) du jeu dans une conjoncture économique difficille, sentiment renforcé par l'abscence de resultats (et d'actions!) réalisées au profit des travailleurs du privé. W+ pour gagner plus? Gagner plus pour acheter trop cher ?? Les réformes, bof bof...Un arrière plan digne du Loft 3 en prime..Un peu caca-fouilli style.



  • Les retraites des fonctionnaires "spéciaux", ils s'en sortent mieux qu'avant réforme.
  • Les heures sup? Tout le monde n'est pas concerné, sympa pour les autres.. Surtout, dois t-on remercier qui que ce soit de permettre une évidence? Qu'y a t-il de grand la dedans?..Un peu léger..
  • The fiscal packet, la par contre trés trés trés bon pour les 16000 veinards. Le retour sur investissement est aussi douteux au plan économique qu'il est désastreux au plan politique.
  • LE plan Atali et ses 101 mesures : bon, concret, casser les doublons, les corporatismes, optimiser... mais rejetté en application??? Allo Houston, vous m'entendez?
  • LA reforme de l'université? Quoi, au final, toujours pas de sélection, des beaux batiments tous neufs, c'est tout. Super..Allez, vous fornirez bien les bombes de peinture rouge pour les mettre plus au gout de leurs futurs locataires. J'espère que nos Archis auront prévu un grand amphi spécial AG aussi.
  • La TIP flottante, vous y avez pensé?
  • Votre ministre de l'économie, "tout va bien Mme la Marquise", changez la immédiatement.
  • J Santini pris la main dans le portefeuille, meme pas viré?
  • Un petit colonel sanguinaire né le cul sur un puit de petrole viens en France, se fout de notre guele et nous chie dessus ???
  • Et ces connards de l'union de la métalurgie, pas de Karcher? Y a plus d'eau?
  • Tailler la pub sur France 2, pour qu'on se la regarde enfler dans 5 ans notre belle redevance, ou pour remercier TF1 par un trés beau marché publicitaire? N'y a t'il pas mieux à faire?

On pourrait malheureusement poursuivre la liste. Que de bévues, confusion, rien n'est fait dans l'ordre.

Qu'on voulu dire les millions d'électeurs de droite en laissant la victoire aux petits cochons?

Qu'il faut se reveiller. Agissez, mais agissez pour la majorité.

Reformez structurellemnt l'Etat, détruisez les doublons Conseil Regional/ Départements, cessez d'embaucher du fonctionnaire dans le territorial (contrairement à ce qui est affiché...), poursuivez la réforme de l'éducation nationale, cessez de craindre la fonction publique, réformez intelligement un système de solidarité nationale trop souvent détourné, produisez des gains de productivité et redistribuez les...à ceux qui vous on dit ce Week end par l'abstention que pour le momment, vous ne valiez pas mieux que la Gauche. Vous etes bosseurs, et bien soyez aussi courageux et ambitieux. Un con qui marche vaut mieux qu'un intellectuel assis.





Labels:

INFO LCR : Le malheur des uns...


Chers amateurs éthologues, je transmet quelques information sur les moeurs de notre ami OB1, qui m'ont été courtoisement transmises par "pierrot", modeste légionnaire...
"Dommage que nos médias soient si discrètes, mais cela s'explique à la fin du texte ......
Comment O. Besancenot a-t-il progressé aussi vite dans la hiérarchie dela LCR, jusqu'à en devenir le porte-parole et candidat à la Présidentielle ?O. Besancenot a eu pour compagne la propre fille d'Alain Krivine, fondateur de la Ligue Communiste Révolutionnaire et encore le réel "patron" de ce parti... Il a rompu il y a 3 ans mais est resté proche du beau-papa...
Olivier Besancenot est devenu en quelques années le porte-parole de ce parti grâce à l'action efficace de l’ex beau-père... Chez les trotskystes, on pratique la solidarité, mais d'abord envers la famille. Où Besancenot travaille-t-il réellement ?A cette question, le candidat Besancenot parle de salaire de moins de 1200€‚ à La Poste... Bienheureux les croyants... La réalité est un peu différente, Besancenot n'étant à La Poste de Neuilly-sur-Seine que pour les photographes, c'est à dire, quasiment jamais. Il est surtout rémunéré par le parti. A titre d'exemple, il a touché très régulièrement une indemnité d'assistant parlementaire européen lorsqu’Alain Krivine était Député Européen, dont le montant était très largement supérieur aux 5000€‚ mensuel…
Quel est son patrimoine ?A cette question, O. Besancenot parle avec modestie d'un petit studio dans le 18ème arrondissement populaire. Le journaliste avisé ira voir sur place... un appartement en réalité de bonne taille et dans le quartier du Sacré Cœur en plein Montmartre, le quartier le plus cher du 18ème, et un des quartiers les plus recherchés des Bobos (Bourgeois bohèmes) parisiens. Bien évidemment, il en est propriétaire... Un salaire à vie de postier n'y suffirait pas. Comment expliquer ce black-out sur Besancenot ?O. Besancenot a épousé Stéphanie Chevrier, une des principales éditrices de Paris, appartenant à la direction de Flammarion. Pour Besancenot, elle a plusieurs avantages : c'est l'un des plus hauts salaires de l'édition mais c'est surtout une habituée des médias. ancienne compagne du chanteur Yves Simon, elle a construit sa carrière sur les relations presse... Dirigeant une armée d'attachées de presse, elle a certains moyens de pression et derétribution, ce qui incite sans doute les journalistes à plus de modération dans les attaques...
Tous ces faits sont strictement exacts, je vous incite à en parler autour de vous... Puisque la presse française "oublie" de faire son travail"

Tuesday, November 20, 2007

Charitée bien ordonnée...


Commence par soi meme. Alors que nos petits privilégiés rose-bonbon-délavé s'en donnent à coeur joie et emmerdent copieusement la majorité silencieuse, il serait inadmissible que le gouvernement s'abaisse a quelque concession que ce soit avec les mafias syndicales. Pas de quartiers...


Nous subissons déja les conséquences des grèves de nos chers parasites, alors subissons les un mois ou un an s'il le faut, mais dans l'honneur, à fond, une bonne fois pour toutes. Cela étant dit, on ne peut que regretter que les régimes spéciaux de nos parlementaires n'aient pas fait l'objet d'un exemple heureux en préambule... Tout cela est trés maladroit, au mieux. Si l'on y ajoute le fiasco du bouclier fiscal, quoi qu'on en pense sans interet pour l'imensse majorité d'entre nous, il serait temps pour le gouvernement de se reveiller pour s'occupper de ceux qui font la nation.


Et ce ne sont ni des 5000 étudiants radicalement débiles de socio-psycho, ni des pleurnicheries fiscales des grandes fortunes de la chanson francaise qu'il faut s'occuper. Un peu de courage, un peu de serieux, et des couilles, voilà ce qu'on vous demande. EXECUTION.


Monday, May 07, 2007

Fin de la Récré.


C'est fini. La récréation qui aura duré 30 ans vient d'etre sifflée. Stupeur et tremblements. LE PCF est en ruine, le PS entre en phase d'implosion. Cette gauche geignarde, soviétique, arqueboutée sur ses seules doctrines n'a pas vu le sol se dérober sous ses pieds. Le reveil est difficille pour nombre d'électeurs, Socialistes sincères, Bobos Lofteurs boursicoteurs en douce, fils et filles à papa en Fac de Socio, psycho, Lettres, histoire de l'histoire de l'art, j'en oublie et pardon pour eux. Mais ces électeurs là n'ont une pratique de la gauche que pour le romantisme utopique douçoreux des longs bavardages enflammés. Ils s'en foutent bien. Au fond, ce sera bien mieux désormais, de se sentir plus que jamais l'ultime rempart contre les méchants fascistes réactionnaires sanguinaires (oups, 53% de leurs compatriotes...). Tout benef pour cette gauche de nantis, brandissant d'une main le Drapeau du monopole du bien, de l'autre leurs petits sacs de Shopping bien garni des belles boutiques . Mais il y a les autres. Ceux qui on votés pour les vacances. Pour l'assistanat, pour les privilèges, pour demeurer une caste de nantis, pour conserver leurs privilèges.Et c'est vrai, on aimerait bien que ca dure toujours, les Vacances... Mais voilà, c'est la fin de l'été indien. Ils vont pouvoir découvrir l'experience réele de la participation à la solidarité nationale, cotiser eux aussi, découvrir le sens du mot "Week End", la programation d'un réveil matin, l'usage d'un calendrier, la fatigue aussi. C'est à ceux là que nous adressons chaleureusement un message de bienvenue. Bienvenue dans la réalité.

Friday, May 04, 2007

SYNDICATS : L'Ennemi totalitaire

L’action du Syndicat porte essentiellement sur trois niveaux. Le premier est celui de la base des nombreux militants qui constituent le noyau, la substance et la raison d’être opérationnelle du Syndicat. La base est le bras armé de la doctrine. Par ses actions sur le terrain, elle a pour but premier de rendre possible le chantage syndical, clef de voûte absolue, mode d’expression unique de la belle et Noble confrérie. La base syndicale a deux missions principales. La première est bien entendu l’action de grève, de blocages, de chantage et la promotion de l’agitation au sein de la structure dans laquelle ils sont installés.. Le but séculaire de la base est également de propager l’idéologie de la confrontation et du blocage à tout prix afin de grossir les rangs de l’organisation, et enfin, d’assurer les actions les plus massives. La base syndicale recrutant traditionnellement sur la masse, elle compte en ses rangs les individus les plus nombreux et les plus influençables, ne manquant aucune occasion de profiter de cet état de fait pour abrutir les profils fragiles par la propagande de ses thèses destructrices. Néanmoins, force est de constater que c’est parmis cette base que l’on trouve les individus les plus sincèrement convaincus, les plus idéalistes, les plus tragiquement crédules. A ce titre au moins, le Syndicalisme répond au besoin profond d’adhésion à un idéal, quand bien même le mouvement s’en revendiquant serait fallacieux et profondément déviant des intérêts même de ses partisans. Une troisième mission prioritaire de la base est le recrutement, condition sine qua non de sa survie, celle-ci étant justement fondée, comme la doctrine qui la commande, sur l’exploitation des Masses. L’action Syndicale classique de blocages est en effet impossible sans le soutient d’une proportion suffisante de salariés, alors et seulement alors en mesure d’imposer efficacement telle ou telle prise d’otage de telle ou telle Institution, en général Publique.

La base de ces organisations a donc pour but :

1-Assurer un nombre suffisant de militants pour mobiliser et permettre le blocage d’une Structure
2-Propager l’idéologie de la lutte des Classes et ses principes d’opposition au prétexte de la défense des conditions du Salarié
3-La mise en œuvre opérationnelle des actions d’envergure, sur ordre du niveau central, afin de promouvoir l’illusion de représenter la majorité des travailleurs, et plus généralement même, la prétention de représenter l’ensemble des citoyens.

Au sein même de la structure ou de l’entreprise dans laquelle il est implanté, le syndicat, bien que d’obédience Marxiste, se compose d’une structure bien hiérarchisée, et compte des chefs, des représentants, qui animent et coordonnent les activités précitées. Ce niveau de « management » localisé est lui-même subordonné, rend compte et obéi scrupuleusement aux directives des instances Nationales. En aparté, l’auteur ne peut ici que conseiller vivement à tous citoyen curieux d’effectuer une petite visite des luxueux bâtiments de ces défenseurs de la Veuve et de l’opprimé. On ne peut que rester pantois devant un goût si ostensiblement prononcé pour les belles choses. Peut être la folie des grandeurs ? Toute plaisanterie mise à part, la Mégalomanie, le faste et la démesure suspecte des bâtiments qui abritent ces institutions ne sont malheureusement pas incohérente avec le pouvoir dont dispose effectivement cette institution. L’impact moral, économique et social de ces organisations ne peut se mesurer qu’à l’aune de l’utilisation Politique de la cause des salariés. En effet, le niveau central de ces organisations a pour but ultime :

1-Coordonner les actions d’agitation en un faisceau cohérent et politiquement utilisable
2-Assurer la pérennité de l’organisation sur l’échiquier Médiatique, au besoin en soulevant des crises et en attisant la grève (ce qui du reste est une activité menée quotidiennement)
3-Définir, transmettre et propager au sein de sa base l’argumentaire et les revendications propres à assurer les conditions les plus favorables à l’obtention de financements directs et indirects. On peut retenir deux piliers du dispositif : demande d’effectifs et de budgets toujours plus importants pour les Organismes infiltrés, entretenir les mythes et l’insatisfaction de la base.

Le Pouvoir Syndical Central se situe donc, bien loin de idéalisme sincère de la plupart des militants de la base, au niveau Politique et Financier. Les actions menées par les branches subalternes n’ayant pour but fianl que de servir les intérêts du Pouvoir Central au profit du politique. Le blocage systématique du pays, particulièrement visible et efficace dans le service Public (Transports ferroviaire, Energie..), demeure en cela l’action de guérilla sociale la plus extraordinaire pour le pouvoir syndical. Et c’est en cela que la maison du Service Public lui est si précieuse. Sans ce levier d’action, le Syndicat ne peut mener d’actions médiatiques susceptibles d’être récupérables par les partis Politiques anti-constructifs et conservateurs de la Merveilleuse Gauche Plurielle Francaise..


Pour s'enrichir intellectuellement :
http://www.force-ouvriere.fr/

Friday, April 06, 2007

BAYROU



Chers légionnaires, L'échéance approche. Marie Ségolène se pette la gueule. Elle n'est pas assez anti léberale, trop réactionnaire. Dommage, les vieux copains du PS, "proches du Peuple", comme Jackomo, Laurent, Dominique, ces hommes simples et modestes, voient maintenant les espoirs de postes ministériels s'éloingner, ce qui ne va pas sans tendre encore le petit fil rouge au parti...


Pour l'électora rose bonbon cependant, un espoir subsiste : Mr Bayrou. Le conscensus, l'assurance du rien, la garantie de l'immobilisme, la représentation assurée de 5 années de bavardages parlementaires jamais vu depuis 46.


Il a séduit cette gauche Bourgeoise, mais aussi celle considérable du corpus administratum Educationalis Ouin Ouin, fortement apeuré d'envisager devoir rester au collège 32 H/s, et peut compter en partie sur le vote communautariste. Francois, sympathique, compte aussi sur ses électeurs Sociaux Démocrates Chrétiens, dont il est à penser que beaucoup cependant seront incapables de digérer son penchant soudain pour la gauche.


Ainsi, grosso merdo, chaque points supplémentaire pour francois est un point de moins pour Sainte Marie Ségolène. Mais surtout, chers gauchistes, ne craignez vous pas de faire le jeux de Mr Le Pen, une fois encore, au premier tour? Avec La glorieuse gauche anti liberale vert fluo qui sortira près de 7 points au marécage... Aii..Alors, mobilisez vous que Diable! J'en prend donc le paris devant vous chers rougets, par votre manque de substance, vous allez nous remettre ça au premier tour. Finallement, votre diktat du monopole du bien, vos postures idéologiques sclérosées, bref, vos abus de mausaise conscience pourraient trés bien nous mener à un Etat Dictateur, un vrai celui là. Et c'est ce danger que dénonce ce site qui n'est ni raciste ni homophobe, celui de votre manque de résponsabilité. Rendez vous le 21. Je ne vous salue pas.


FT


Monday, February 26, 2007

Savez vous que vous payez 50% d’impôts ?



Par Albert LI – Première publication le 1er Février 2002 – Dernière modification le 25 septembre 2006


En France, les impôts sont si bien cachés que nous avons tous l'impression, au moins dans un premier temps, d'en payer peu, voire même, pas du tout. Il se trouve même des hommes politiques - des gens qui devraient pourtant être bien informés dans ce domaine - pour dire sans plaisanter le moins du monde que « la moitié des français seulement paie des impôts » !
C’est pourtant totalement faux. La vérité est complètement différente, opposée même.
La vérité, c’est non seulement que nous payons tous des impôts, que l'on soit au SMIC ou que l’on gagne un gros salaire, mais en plus, que nous payons tous environ 50% d’impôts (40% pour les personnes payés au SMIC, plus de 60% pour ceux ayant un gros salaire). Autrement dit, vous ne le savez sans doute pas, mais l’Etat vous prend chaque mois la moitié de votre salaire !
Cela vous étonne ? Vous ne voyez pas comment l’Etat pourrait vous prendre chaque mois la moitié de ce que vous gagnez ? C’est pourtant la stricte vérité et vous allez pouvoir le vérifier par vous même tout de suite.
Les calculs qui vont suivre seront extrêmement simples. Pour les faire vous-même et vérifier ainsi que l’Etat vous prend bien chaque mois la moitié de votre salaire (les salaires de votre foyer si vous êtes marié), il vous suffit de vous munir de votre dernier bulletin de paie (et de celui de votre conjoint donc), de tous vos avis d’impositions de l’année dernière (impôt sur le revenu, taxe d’habitation, redevance télé, etc…) et d’une calculatrice.
Si vous possédez un logiciel capable de lire les fichiers Excel, pour encore plus de facilité, vous pourrez utiliser notre
feuille de calcul.
Enfin, si vous ne voulez pas faire de calculs et fouiller dans vos papiers administratifs (ce qui peut se comprendre), il vous suffira de suivre les exemples suivants basés sur des cas réels (le détail des données et des calculs relatifs à ces exemples figurent dans notre feuille de calcul ) :
Stéphane est payé au SMIC, soit un salaire net de 1.050 € par mois (6.500 F). Il paie néanmoins chaque mois 600 € d'impôts (4.000 F) ! Il a un taux d'imposition de 40% !
Claire gagne un salaire net de 1.300 € par mois (9.000 F). Elle paie néanmoins chaque mois 1.200 € d’impôts (8.000 F) ! Elle a un taux d’imposition de 54% !
Pierre gagne un salaire net de 2.800 € par mois (18.500 F). Il paie néanmoins chaque mois 2.900 € d’impôts (19.000 F) ! Il a un taux d’imposition de 58% !


Vous gagnez beaucoup plus d’argent que vous ne le pensez !
Pour commencer, établissons quel est votre salaire. Savez vous combien d’argent vous gagnez par votre travail ? Savez vous quel est votre salaire ?
Vous me répondrez sans doute que oui.
Permettez moi cependant d’en douter. Pour ne pas connaître votre salaire, vous avez en effet une très bonne excuse : le bulletin de paie français n’a vraiment pas le mérite d’être clair sur la question (ce qui est pour le moins paradoxal pour un bulletin de paie)
D’après vous, votre salaire, c'est le salaire net ? Le salaire brut ?
La réponse est : ni l’un, ni l’autre ! Vous gagnez plus que votre salaire brut, bien plus ! (40% de plus environ)
En effet, votre salaire, c’est tout l’argent que votre employeur est prêt à payer en échange de votre travail. En échange de votre travail, votre employeur vous verse un certain salaire brut certes, mais il paie également les charges patronales correspondant à ce salaire brut aux organismes sociaux (caisse d’assurance maladie publique, caisses de retraite publiques, etc…).
Si votre employeur accepte de payer l'ensemble de cette somme - votre salaire brut plus les charges patronales - c'est qu'il juge que le travail que vous effectuez pour lui vaut bien cette somme. Votre véritable salaire, c’est donc votre salaire brut plus les charges patronales.
Certains diront que ces charges patronales ne font pas partie de votre salaire, que votre employeur ne les paie pas en reconnaissance de votre travail mais parce qu'il y est obligé par la loi.
C'est encore une fois complètement faux. Votre employeur est certes "obligé" par la loi de payer ces charges patronales. Mais il n'était absolument pas "obligé" de vous embaucher (et il savait alors parfaitement qu'il aurait à payer, en plus de votre salaire brut, les charges patronales). De plus, si votre employeur jugeait que votre travail ne vaut pas le salaire brut et les charges patronales qu'il paie pour vous, il serait parfaitement libre de vous licencier. Votre employeur n'est en effet absolument pas "obligé" de vous garder dans son entreprise.
Non, si votre employeur accepte de payer votre salaire brut plus les charges patronales, c'est qu'il juge que le travail que vous effectuez pour lui vaut bien cette somme. Votre véritable salaire, c’est donc bien votre salaire brut plus les charges patronales.
Pour calculer votre véritable salaire ( salaire qui ne figure donc même pas sur le bulletin de paie français !), il vous suffit d’additionner à votre salaire brut, le total de vos charges patronales qui figure habituellement en bas à droite du bulletin de paie.
Salaire = Salaire brut + Total des charges patronales
Exemples :
Le salaire de Stéphane, qui touche le SMIC, soit 1.050 € net par mois (6.500 F), est en réalité de 1.500 € par mois (9.700 F) ! (Un salaire brut de 1.250 € plus 250 € de charges patronales)
Le salaire de Claire, qui touche 1.300 € net par mois (9.000 F), est en réalité de 2.250 € par mois (15.000 F) ! (Un salaire brut de 1.650 € plus 600 € de charges patronales)
Le salaire de Pierre, qui touche 2.800 € net par mois (18.500 F), est en réalité de 5.000 € par mois (33.000 F) ! (Un salaire brut de 3.600 € plus 1.400 € de charges patronales)

Combien d’impôts payez-vous sur ce salaire ?
Maintenant que vous connaissez votre véritable salaire, déterminons combien d’argent l’Etat vous prend en impôts sur cette somme.
Il est à noter que nous parlerons ici d'Etat et d'impôts au sens large. Par le terme "Etat", nous désignerons aussi bien l'Etat proprement dit que les organismes sociaux (la sécurité sociale par exemple). Par le terme "impôt" nous désignerons aussi bien les impôts proprement dit que les cotisations sociales (cotisations retraite, assurance maladie). Ce qui nous importe en effet dans ce texte, c'est de déterminer combien d'argent l'Etat (au sens large) vous prend sur votre salaire en impôts (au sens large toujours). Ce n'est pas de rentrer dans les passionnantes subtilités de nos administrations publiques.
Poursuivons notre propos donc.
Vous payez successivement trois sortes d’impôts :
D’abord les impôts prélevés à la source (CSG, RDS, charges sociales).
Ensuite les impôts directs (impôt sur le revenu, redevance télé, taxe d'habitation, ...).
Enfin les impôts indirects (TVA, taxes sur l'essence, droits de mutation,...).
Nous allons voir combien d‘argent l’Etat vous prend à chaque fois.

Les impôts prélevés à la source : La CSG, la RDS et les charges sociales
Les impôts prélevés à la source figurent sur votre bulletin de paye.
Il y a d’abord la CSG et la RDS. Enfin, il y a l’ensemble des charges sociales. Comme nous l’avons vu, il n’y a pas de subtiles distinctions à faire. Qu’on les appelle charges salariales ou bien, à tort, charges patronales, de toute façon, c’est vous qui en réalité les payez par votre travail.
Il est inutile de vous lancer dans une longue addition de tous ces montants pour savoir combien vous payez exactement de ces impôts. Ce qui vous reste de votre salaire après cette première vague d’impôts, c’est votre salaire net
(1). Pour savoir, combien d’impôts prélevés à la source vous payez, il vous suffit donc de soustraire votre salaire net à votre salaire.
Impôts prélevés à la source = Salaire – Salaire Net
Exemples :
Stéphane, qui touche le SMIC, soit 1.050 € net par mois (6.500 F), paie donc 450 € (2.800 F) d'impôts prélevés à la source chaque mois ! Son véritable salaire est en effet de 1.500 € par mois (9.700 F).
Claire, qui touche 1.300 € net par mois (9.000 F), paie donc 900 € (6.000 F) d’impôts prélevés à la source chaque mois ! Son véritable salaire est en effet de 2.250 € par mois (15.000 F).
Pierre, qui touche 2.800 € net par mois (18.500 F), paie donc 2.200 € (14.500 F) d’impôts prélevés à la source chaque mois ! Son véritable salaire est en effet de 5.000 € par mois (33.000 F).

Les impôts directs : Impôt sur le revenu, taxe d’habitation, redevance télé, …
Les impôts directs sont l’impôt sur le revenu, la taxe d’habitation, la redevance télé… bref, tous ceux pour lesquels vous recevez chez vous un avis d’imposition. Je ne saurai vous en donner la liste complète mais je pense que vous connaissez bien ces impôts, ceux que vous payez du moins, ainsi que leurs montants respectifs.
Additionnez donc tous les impôts de ce genre que vous avez payé l’année dernière.
Afin de déterminer combien d’impôts directs vous payez par mois de salaire, divisez le total que vous avez obtenu par 12 (13 si vous êtes payé sur 13 mois, etc…)
Impôts directs par mois de salaire = Impôts directs par an / Nombre de mois de salaire
Après cette deuxième vague d’impôts, il vous reste sur votre salaire, votre salaire net moins les impôts directs par mois.
Exemples :
Stéphane n'a payé aucun impôts directs l'année dernière. Après les impôts prélevés à la source et les impôts directs, il ne lui reste donc que 1.050 € (6.500 F) sur son salaire de 1.500 € (9.700 F) ! Et ce n'est pas encore fini !
Claire a payé l'année dernière 1.246 € d'impôt sur le revenu et 216 € de taxe d'habitation. Elle est payée sur 12 mois. Claire, qui touche 1.300 € net par mois (9.000 F), paie donc 120 € (900 F) d’impôts directs par mois ! Après les impôts prélevés à la source et les impôts directs, il ne lui reste donc que 1.200 € (8.000 F) sur son salaire de 2.250 € (15.000 F) ! Et ce n'est pas encore fini !
Pierre a payé l'année dernière 3.821 € d'impôts sur le revenu, 116 € de redevance télévision et 216 € de taxe d'habitation. Il est payé sur 12 mois. Pierre, 2.800 € net par mois (18.500 F), paie donc 350 € (2.300 F) d’impôts directs par mois ! Après les impôts prélevés à la source et les impôts directs, il ne lui reste donc environ que 2.500 € (16.000 F) sur son salaire de 5.000 € (33.000 F) ! Et ce n'est pas encore fini !

Les impôts indirects : TVA, TIPP, etc…
Vous avez payé les impôts prélevés à la source ? Vous avez payé les impôts directs ? Il vous reste encore à payer les impôts indirects.
Ces impôts sont extrêmement bien cachés. Ils sont partout et pourtant on ne les voit jamais ! Il s’agit des impôts sur la consommation. Nous les payons à chaque fois que nous faisons un achat.
La liste de ces impôts est longue : TVA, TIPP (taxe sur l’essence), taxe sur les alcools, taxe sur le tabac, droits de mutation (frais de notaire)… je ne saurai les citer tous.
Le principal impôt de ce type est la TVA. Sur la majorité des produits, le taux de la TVA est d’environ 20%. Cela veut dire que sur un article qui vaudrait normalement 100 euros, il faut en plus payer une taxe de 20 euros. L'article revient donc à 120 euros au lieu de 100. L'argent versé à l'Etat en TVA représente donc 16,6% de la dépense ( 20 divisé par 120 ). Autrement dit, à chaque fois que vous achetez pour 1.000 euros de produits soumis à la TVA, vous payez 166 euros d’impôts.
Pour déterminer combien d’impôts indirects vous payez par mois, nous allons être obligé de faire une approximation.
En effet, selon les périodes, vous payez plus ou moins d’impôts indirects selon que vous choississez de dépenser votre argent ou au contraire d’épargner. Enfin, selon les produits ou les services que vous achetez, les taux appliqués sont différents. Si le taux de la TVA est en général d’environ 20%, le taux de la TIPP (taxe sur l’essence ) est lui beaucoup plus élevé (70% environ), certains produits sont exemptés de taxes, etc…Ce serait donc très difficile de dire exactement, combien d’impôts indirects vous payez.
Une chose certaine en revanche, c’est que tout l’argent que vous gagnez, vous finirez bien par le dépenser un jour. Pour calculer combien vous payez d’impôts indirects en moyenne par mois, nous ferons donc comme si vous dépensiez dans le mois tout ce qui reste de votre salaire après les deux premières vagues d’impôts.
Enfin, nous considèrerons que vous payez 15% d’impôts indirects sur toutes vos dépenses ce qui ne me semble pas excessif. La formule pour déterminer approximativement combien vous payez d’impôts indirects par mois sera donc la suivante :
Impôts indirects = ( Salaire net – Impôts directs par mois ) x 15 / 100
Exemples :
Stéphane, qui touche le SMIC soit 1.050 € net par mois (6.500 F), paie donc 150 € (1.000 F) d’impôts indirects par mois !
Claire, qui touche 1.300 € net par mois (9.000 F), paie donc 180 € (1.200 F) d’impôts indirects par mois !
Pierre, qui touche 2.800 € net par mois (18.500 F), paie donc 350 € (2.400 F) d’impôts indirects par mois !

Vous payez bien 50% d’impôts !
Vous voilà arrivé au bout de vos peines. Vous avez maintenant payé tous vos impôts.
Pour connaître combien d’impôts vous payez au total par mois, il vous suffit d’additionner les trois montants d’impôts que vous avez calculé précédemment.
Pour connaître votre taux d’imposition, il vous suffit de diviser ce total par votre salaire et de multiplier le tout par 100.
Taux d’imposition = ( Total des impôts / Salaire ) x 100
Vous pouvez constater que vous payez bien environ 50% d’impôts ! L’Etat vous prend bien environ la moitié de votre salaire !
Exemples :
Stéphane, qui touche le SMIC soit 1.050 € net par mois (6.500 F), paie donc bien 450 + 0 + 150 = 600 € (4.000 F) d'impôts chaque mois ! Son vrai salaire étant de 1.500 € par mois (9.700 F), il a bien un taux d’imposition de 40% !
Claire, qui touche 1.300 € net par mois (9.000 F), paie donc bien 900 + 120 + 180 = 1.200 € (8.000 F) d'impôts chaque mois ! Son vrai salaire étant de 2.250 € par mois (15.000 F), elle a bien un taux d’imposition de 54% !
Pierre, qui touche 2.800 € net par mois (18.500 F), paie donc bien 2.200 + 350 + 350 = 2.900 € (19.000 F) d’impôts chaque mois ! Son vrai salaire étant de 5.000 € par mois (33.000 F), il a bien un taux d’imposition de 58% !

Comment augmenter le salaire de tous les français de 30% !
L’Etat nous prend donc tous environ la moitié de notre salaire.
Il faut néanmoins reconnaître qu’en échange, l’Etat nous rend un certain nombre de services. L’Etat s’occupe de notre sécurité (Justice, Police, Armée). Il construit des routes, des voies ferrées, des infrastructures. Il s’occupe de l’éducation des enfants. Il nous donne une assurance maladie à nous et à notre famille. Avec un peu de chance, il nous donnera un jour une retraite (mais rien n’est moins sûr). Enfin, il s’occupe de la solidarité, il vient en aide à ceux qui sont dans le besoin, qui traversent une passe difficile.
Tout cela n’est pas rien. Pour nous assurer tous ces services, il faut bien que l’Etat nous en demande les moyens, il faut bien que nous en payions le prix.
Il est donc parfaitement normal que nous payions tous des impôts.
Ce qui n’est pas du tout normal en revanche, c’est que nous payons actuellement les services de l’Etat beaucoup, mais alors beaucoup trop chers. Il serait tout à fait possible selon moi de réduire le coût des services aujourd’hui assurés par l’Etat de manière extrêmement importante, de 30% par exemple, et cela sans en diminuer la qualité bien au contraire.
Si l'on réduisait le coût des services aujourd’hui assurés par l'Etat de 30%, le salaire après impôts de tous les français augmenterait alors d’autant, d'environ 30%. Tous les français auraient alors l’équivalent de 4 mois de salaire supplémentaires pour vivre !
Pour savoir exactement quelle somme d'argent vous auriez en plus par mois de salaire si les impôts baissaient de 30%, il vous suffit d'appliquer la formule suivante :
Somme supplémentaire = Total des impôts par mois x 30 / 100
Vous toucheriez donc l'équivalent d'une augmentation de :
Augmentation = ( Somme supplémentaire / Salaire après impôts ) x 100
Exemples :
Stéphane, qui gagne le SMIC soit 1.050 € net par mois (6.500 F), toucherait une somme supplémentaire de 180 € par mois (1.200 F) soit l’équivalent d’une augmentation de son salaire après impôts de 20% !
Claire, qui gagne1.300 € net par mois (9.000 F), toucherait une somme supplémentaire de 350 € par mois (2.400 F) soit l’équivalent d’une augmentation de son salaire après impôts de 35% !
Pierre, qui gagne 2.800 € net par mois (18.500 F), toucherait une somme supplémentaire de 850 € par mois (5.500 F) soit l’équivalent d’une augmentation de son salaire après impôts de 42% !

Wednesday, January 24, 2007

Rééquilibrer la balance de "l'effort"? Réponse à Claude

Réequilibrer la balance de l'effort en France constitue en effet une priorité déterminante, en ne perdant pas de vue que sur les conséquences de ce désequilibre se fonde la survie de certains partis particulièrement désireux de maintenir une certaine misère, comme au bon vieux temps de Rome, des jeux et du pain! Aujourd'hui, la précarisation de l'emploi en France et sa baisse d'attractivité tient en partie à la mondialisation, en partie à une certaine forme de propagande du Fantasme et des peurs primaires.
Claude écrivait :
"Evolution des cotisations sociales entre 1980 et 2005 12.9 - 21.36% pour salariés et 40.27 -10.5% pour les patrons. En 10 ans +130% d'interims et +60% pour les cdd. Est-ce que ces chiffres sont exactes? Les solutions communistes sont ridicules, en effet... Mais que proposez vous pour rééquilibrer la balance de "l'effort"? "


Peut etre est il temps que l’entreprise puisse à nouveau et pleinement exercer son rôle social premier et naturel : assurer l’emploi et l’activité de tous à travers une croissance et un développement qui favorise l’emploi et le savoir faire francais par l’activité par et sur le sol francais à destination des marchés nationaux et internationaux.

La précarisation de l’emploi est d’abord et avant tout le fait d’une absence de visibilité et de compétitivité du travail salarié en France. Soyons plus précis : nous ne manquons pas de Savoir Faire, ni de motivation, ou de technologies. Bien au contraire. L’exploitation fiscale, sociale, et politique du travail salarié nous prive de la liberté d’essayer, de tenter l’aventure de la réussite, bref de rêver. Et d’en faire une réalité. L’entreprise est en panne. L’emploi est en panne. Le marché de l’emploi francais est aussi dynamique qu’une flaque de boue gelée au bord de le l’autoroute un beau Dimanche matin de Janvier. Nous laissons mourir notre héritage Industriel, culturel, économique au profit d’un Etat Macro dont l’inconscience en la matière n’a d’égal que son incompétence, corrompu par un système de financiers déconnectés de la réalité sociale et pour lesquels le crédit d’Etat a depuis longtemps supplanté l’épargne privée, l’investissement industriel, le pari sur la bonne santé économique et le développement en terme de priorité commerciale. Mais c’est encore l’occasion de manger à tous les râteliers. la paupérisation, la précarité et la misère conséquentes à cette destruction de l’activité économique donne lieu à une course effrénée au crédit à la consommation. Une occasion supplémentaire de vendre des intérêts, cette fois à la partie du peuple qui ne paie pas l’impôt. Ainsi, rien ni personne n’est laissé au hasard. Mieux encore, le citoyen défavorisé (client) est bel et bien solvable puisqu’il bénéficie de garanties offertes par les prestations sociales. Tout est relatif, bien sur. Mais les pauvres sont malheureusement les plus nombreux ainsi que les plus nécessiteux de contracter un crédit à la consommation. Mais n’es ce pas avec des gouttes d’eau que l’on parvient à l’Océan, un océan de misère, de sur endettement, de dépression, d’immobilisme, de discours, du grotesque? Si la France était un navire, Le capitaine serait les Banques, les Politique tiendraient la barre, l’entreprise et les salariés du Privé rament, Bercy tiens le fouet, les chômeurs écopent, et les fonctionnaires sont en croisière d’agrément. Nous sommes acculé. Contre toute intelligence, ces deux forces, l’une Socialo Marxiste, l’autre Capitaliste Usurière, en leur alliance faussement contre naturelle, nous mènent tout droit à la faillite du travail, de nos Entreprises, de notre système social tout entier. En détruisant notre compétitivité économique par le fiscalisme et l’exploitation du travail salarié et de l’Entreprise, la Sociale Médiocratie favorise l’endettement de l’Etat qui profite entièrement à ses créanciers, à savoir les Banques. Le capital a depuis longtemps abandonné la mise créancière sur l’investissement, pour concentrer son attention sur un client bien plus solvable : la Nation toute entière. Ainsi l’impôt qui nous est vendu comme un mal nécessaire à la solidarité nationale n’est de fait que la transaction déguisée du solde de l’encaissement des intérêts qui viennent engraisser une clique de Financiers dégénérés. Voici le vrai visage de l’impôt. Voici aussi le vrai visage de la misère. L’impôt, out à la fois cause et cause conséquence. Et voici aussi le vrai visage du Capital. La boucle est bouclée. La ceinture se resserre sur nos ventres amaigris, salariés, créateurs d’activité, sans emplois, salaires dérisoires et, c’est un comble, in fine, la faute sera celle de l’Entreprise, cause de tous les maux économiques et sociaux. L’affaire est si finement ficelée que nos bons politiciens socialocrates bien pensants, en retour de leur besogneux travail d’augmentation perpétuelle d’une dette désormais abyssale, reçoivent par mandat démocratique leur misérable solde. Ces hommes n’on aucunement conscience de la gravité de leurs actes, qui dépassent pourtant de loin le simple péché d’orgueil. Pour leur défense s’ils pouvaient toutefois être défendus, il est vrai que cette clique de crétins ne sont qu’une pièce subalterne du processus d’endettement du Client le plus solvable qui soit, le plus Royal : L’Etat, la Nation toute entière, et peu importe le nombre de générations. Nos enfants et les enfants de nos enfants seront écrasés par le poids toujours croissant de l’impôt. Non content de briser les bonnes volontés, l’étranglement de l’activité par l’endettement permet la conservation de niveaux de salaires bas, d’un pouvoir d’achat limité et par conséquent limite gravement la consommation , et donc la croissance sur le marché intérieur, et finalement l’emplois. En revanche, un pouvoir d’achat réduit favorise d’autant le recours à l’emprunt bancaire. La situation est si dramatique que nombreux sont les salariés qui ne peuvent faire face au stricte nécessaire, bien qu’exerçant avec sérieux une activité à temps plein. Bien entendu ils ne peuvent prétendre à aucune aide que ce soit, et se trouvent alors contraint de recourir au crédit. Un crédit social. Si le chien est le meilleur ami de l’homme, le Politique est le meilleur ami du capital, fidèle compagnon affamé d’un maître toujours plus gras. Ainsi l’on est mieux en mesure d’apprécier dans quelle proportion l’asphyxie fiscale est mise en œuvre par l’une ou l’autre formation politique portée alternativement au Pouvoir. Mais le caniche ne fait pas toujours dans le caniveau, et il faut sans cesse veiller à l’entretien et à la promotion de la justification d’un pillage fiscal sans cesse croissant. En cela le détournement des principes sociaux sont vitaux. Une escroquerie réussie fonde souvent sa son succès sur le fait qu’elle se construit autour d’une verité inattaquable, d’un bon sentiment. Ainsi, l’équation de l’escroquerie Etatique pourrait étre la suivante : le besoin Social rend indispensable l’effort fiscal. Certes. Ligne suivante : l’augmentation de la pression fiscale ruine l’économie et favorise la misère. Ligne suivante, la misère augmente le besoin en social, et donc, la pression fiscale. D’ou l’on peu se convaincre que l’intérêt de nos dirigeants à agir contre la misère, indépendamment du parti, est inexistant, voir plutôt contre productif en ce qui les concernent. Ainsi, les mécanismes de la « vente de l’impôt » passent par le Marketing Social, pour aboutir à la misère, tout comme en des époques plus reculées le militarisme passait par les nationalismes et la peur du voisin, pour aboutir à la boucherie et à une improbable hégémonie territoriale.

Sunday, December 17, 2006

Joyeux Noel!


Comme chacun sait, Papa Noel s'habille en rouge. Merci au Légionnaire anonyme pour ce petit tract plein de bons sentiments d'assistanat. Amusez vous à chiffrer les 5 mesures phares évoquées et convertissez en l'effet sur la dette de l'Etat... Joyeuses fetes aux Banques créancières de notre belle république sovietique.

Monday, November 13, 2006

JUST DO IT..(pour rire)

Sunday, October 01, 2006

La Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR), c'est quoi?

La LCR represente une branche (brindille..) militante et engagée sur le terrain, menée par un chef trés amusant et trés charismatique.

Bien que fondée voici 30 ans, son action "engagée" regroupe pour beaucoup de braves et jeunes crétins laxistes, dociles, et souffrant d'un grave manque affectif, intellectuel et de reconnaissance. l'ambition de la LCR s'exprime tout autant à travers la bonne vielle lutte sociale "capital" contre "peuple" qu'au travers d'une passion de la manifestation. Toutes les occasions sont bonnes pour sonner le rassemblement. En ce sens , la LCR rassemble beaucoup d'étudiants Universitaires nantis et privilégiés des grands centres urbains, jamais rassasiés d'une bonne "teuf" entre bobos révolutionnaires. Notons que la notion de lutte se limite aux slogans et à la consommation de bière et de H, comme à l'occasion des manifs anti-CPE ou nos vaillants Rougets se sont fait piteusement massacré par leurs trés chers "protégés" les casseurs. Ils ne doivent leur survie qu'à l'intervention des militants CGT dont nous reparlerons, et qui sont un ennemi nettement plus serieux dans le gauchisme. Il ne faut pas se priver de se glisser parmis le joyeux cortège LCR pour se rendre compte de la suprficialité de l'engagement de ses membres dont la rencontre du sexe opposé sur fond de Mai 68 est la première motivation. Signe particuliers : faible capacité intellectuelle, style vestimentaire entre Janis Joplin, un clochard et Yasser Arafat. Dangerosité : nulle. Motivation : nulle. Crédibilité : 0. Membre type : Etudiant en Sociologie, histoire de l'Art, faux intellectuel, Jongleurs, Teufards de toutes zones. En conclusion, la LCR est plutot un sujet de détente, d'étude et de loisir qu'un réél Danger. Cependant, il est trés fatiguant d'échanger trop longtemps avec les membres, donc ne pas abuser des bonnes choses. Dérnier point, son leader qui personnifie assez bien l'esprit de l'organisation, O B 1, un jeune frustré en quète d'aventures feminines et qui a trouvé en l'utopie romantique Marxiste les moyens de camoufler une personnalité de médiocre looser.

Le Parti Socialiste, c'est quoi?



C'est l'organe "propre" et présentable de la docrtine. Composé d'énarquoides malins et avides, il est la vitrine la plus décadente du Mouvement socialiste, mais procède aussi de par son poids à la mise en oeuvre de la doctrine d'un Non-Projet abominable. Au sein de la démocratie républicaine, le PS (pour les intimes), a besoin de votes populaires et massifs. Il les achete donc avec l'argent public en favorisant certains lobbys qui sont ses chasses gardées favorites ; la Fonction Publique, les personnes en difficultées sociales, les minorités. Pour cette raison, il est absurde de penser que le PS, bien que d'apparence modérée, ne réalise quoi que ce soit afin de réduire le chomage et d'améliorer la situation sociale des francais de manière vertueuse, car cela signifierait aussi de facto scier la branche sur laquelle ils sont solidement assis.NB : A l'orignine de son électora était la classe ouvrière, mais celle ci l'a vraissemblablement délaissé, et ne s'en réclame plus que pour une partie. Le but ultime du PS est identique à celui de tout parti de Gauche : lessiver les Individus en arrachant à leur ame toute faculté de résilience, détruire des valeurs aussi fondamentales que le courage, l'envie de reussir, l'autonomie, le respect. Les mécanismes de son emprise sont si simples qu'on ne peut qu'etre consterné : Assister pour asservir. Asservir pour régner. Son fond de commerce : la misère sociale, la faiblesse humaine, la fonction Publique, les minorités qu'il choye particulièrement afin de gagner au finish. Ses armes : La démagogie, la peur de la précarité, une insoutenable prétention à détenir le monopole du "bien"., ainsi que 80% des journalistes de presse qui sont de bons et loyaux socialistes. Signe distinctif : Bien que de gauche, ils apprécient grandement le luxe et les bonnes et belles choses. Ce qui ne semble pas leur poser de cas de conscience, car le Socialiste du PS est un Rouge modéré et qui se dit moderne. Le socialiste du PS ne crache jamais dans la soupe. En tout cas jamais dans la sienne. Trés souvent, il est en effet un modèle d'hypocrisie inégalable, ce qui le distingue de ses Camarades plus radicaux et moins présentables de la LCR, CNR, ou de lutte Ouvrière par exemple.

Qu'es ce que la C.N.T, quand la Gauche est contre la Gauche?....


Avec les anarcho-gauchistes, on touche le fond de la Cuvette. C'est du Lourd, trés Lourd. Le mouvement syndical est relativement ancien, et se compose d’un mélange hétéroclite de jeunes et de moins jeunes extrémistes de gauche. Curieusement, la Doctrine de la CNT se caractérise d'abord par une abscence de doctrine, ou il s'agit principalement de rejetter la Gauche (vendus aux capitalistes) et la Droite (les Capitalistes) (ce qui en soi n'est pas forcement une anerie), pour instaurer une Anarchie. Dans l'esprit de l'anarcho gauchiste de base, un monde ou chacun existerait sans règles ni lois, idéalement ou le troc et le partage de la propriété feraient le bonheur de chacun. C'est à dire le moyen age. Le mouvement revendique également une nostalgie sans borne pour les épisodes romantiques auquels ils n'on pu participer, la guerre d'espagne, l'établissement du monde Libre et Bienheureux à Cuba, et voue à Che Gevarra une idolatrie sans borne proche de l'hystérie sexuelle. Le profil type du militant CNT est par ailleurs abominable, esthétiquement tout autant qu'intellectuellement, sans oublier l'impitoyable odeur...C'est le parti des travellers, des joyeux exclus, des jeunes clochards "par conviction", mais aussi des Syndicalistes extrémistes, dont même FO ne voudrait plus... Tous partagent une haine profonde pour la Gauche plurielle, ce en quoi nous avons, il est vrai, un point commun.(le seul). La CNT est d'autre part particulièrement jalouse de la LCR, qui lui apparaît (à juste titre) comme un mouvement concurrent de petit bourgeois de gauche, mais dont l'accès à la tribune médiatique lui semble être la plus ignoble usurpation. Car la CNT revendique, à l'instar de la gauche, mais contre la gauche cette fois, la propriété exclusive de la révolution. Ils s'autoproclament "seuls détenteurs licites" de la révolution Rouge, et poussent le vice à appeler à "la destruction de la gauche". Que c'est mignon. Les amateurs apprécieront. La CNT jouit d'une tribune médiatique plus que médiocre puisqu'elle ne respecte pas le puissant establishment de la gauche "propre" et ses fameux réseaux de désinformation. Ils ont mis du temps à reconnaitre cette erreur, et l'on peut lire parfois :des propos rassurants "Aujourd'hui, choisir l'anarchisme, c'est faire preuve de réalisme et de sens organisationnel. Nos détracteurs (des fascistes aux marxistes en passant par les démocrates) nous considèrent comme des terroristes ou des idéalistes en retard d'une révolution. Il y a ceux aussi qui prétendent défendre l'anarchisme, mais qui préconisent une société sans règle, sans morale, sans contrainte, dans laquelle on pourrait faire ce que l'on veut. " En revanche, en terme d'organisation terrain, la CNT est fortement militante, et ne manque tout de même pas de s'inviter à chaque Manif ou "crise sociale" comme le CPE (quelle fête mes enfants quelle fete). en conséquence, bien que puante, débile et composée de membres fortement Cannabissés et/ou alcoolisés, la CNT est un ennemi sérieux de par sa présence énergique sur le terrain. Votre serviteur, au péril de sa santé, bravant les infections en tout genre, s'est à plusieur reprises immiscé dans l'organisation. Le soldat CNT est hargneux, certes, cependant, son état physique et psychique fragile n'en font pas un réel danger. Chaque année, plusieurs de ces guerriers se blessent gravement en fabriquant des cocktails molotov, ce qui est dramatique pour la sécurité sociale. Pour finir, nous noterons que le mouvement est aussi trés paritaire, puisqu'il regroupe une bonne proportions de femelles dont la décence m'interdit de décrire le comportement. A ce titre donc, malgré la déchéance physique des individus males, il est tout de même à craindre quelques reproductions au sein de l'espèce.
Quelque conseils pratiques :
Pour les braves que l'experience tenterrait, il est de trés bon ton d'aborder les membres avec un petit présent. Je ne saurais que trop conseiller un petit pack de bière de la plus ignoble qualité, qui suffira largement à vous ouvrir les ames de ces charmants interlocuteurs. N'hésitez pas à vous assoir par terre et à vous fouiller dans le nez, sans oublier de cracher régulièrement. Si vous étes sportif, veillez bien à dissimuler votre bonne santé physique, car cela suffit en général à faire fuir les membres les plus fanatiques, qui sont pourtant les plus divertissants. Surtout, n'approchez pas les femelles seul.

Friday, September 22, 2006

LA RENTREE DES "CLASSES"

La rentrée Politicienne nous propulse au coeur d'intrigues dignes d'un excellent Fondation d'Azimov. L'occasion se prête de hâter la défaite des terroristes de la pensée unique. La division des chefs de partis politiques de gauche ne fait que commencer, alors qu'approche le temps du choix du glorieux (se) candidat(e). DSK, Lolo, Jospinou, Francois, son épouse Jack, le NPS, le MJS, les bloggs, les verts avec ou sans OB1, OB avec ou sans Arlette, Marie georges avec ou sans chacun des précedents. La valse est étourdissante. Chacun d'entre nous possède dans ses relations des électeurs potentiels de gauche. Il convient de tout faire afin de répartir au mieux cet électorat dans les divers Mouvements minoritaires satellites du PS, ceci au but de dilluer l'impact de ces contributions à la proportionnelle. Pour cela, la méthode est simple : stigmatiser le PS comme un parti trop Libéral, vendu aux intérêts du Capital (DSK), trop éloigné des la véritable doctrine socialiste du combat révolutionnaire (Jospin), le PS n'est de plus pas assez anti-Européen (Lolo) et trop réactionnaire (Sego). Insistons particulièrement auprès des jeunes socialistes si affectueusement épris de romantisme. J'ai moi même éprouvé la méthode, et il semble peu difficile de convaincre un socialiste PS de se radicaliser un peu. L'exercice est aussi ludique qu'utile. Chaque voix compte. Amusez vous bien. Diviser pour mieux régner.

PS : Pour les Cassandres, le but n’est pas ici de favoriser le FN, qui de toute façon fera bon score nourri par le seul nulisme de nos énarques, mais bien de favoriser la droite conventionnelle.

Tuesday, August 29, 2006

Yes I! OB 1 organise l'Université d'Eté de la LCR à la playa !!!

Cette semaine, un evennement planetaire et ludique avait lieu sur une plage (pourtant innocente) des jolies cotes Francaises. 70 ans après les congés payés, le Noble postier bobo OB premier organisait une grosse teufé à la playa avec tous ses potes de la LCR! Quel merveilleux rassemblement, et combien de belles allocutions ponctuèrent ce remarquable défilé de Mode Gauchiste. On ne pouvait que constater la présence éclatante de l'avant garde des branchés de la lutte révolutionnaire. Ce fut un féstival de t-shirts du Ché, dont certains modèles provennaient à n'en point douter directement de Cuba, achetés en dollars cubains monopoly-dictatur-control à l'occasion d'un pélerinage "révolutionnaire" dans les Caraibes en Hotel all inclusive avec Papa et Maman. Les foulards facon "hezbolàlà" de nos valeureux combattants de Paris 16 étaient également à l'honneur, bien que portés en accessoires ou à la taille pour les femmes vu la générosité de la chaleur. Malgré la pertinence habituelle des interventions du Camarade Alain K, la fete fu cependant gachée par l'abscence préstigieuse d'invités de marque...En effet, Manman Ségo, Tata Arlette et tous les amis du spectre rouge PC au rose bonbon ne sont pas venu à la teufé.. En tout état de cause, Dj' OB one en a profité pour déclarer aux absents qui ont toujours tort qu'il souhaiterait un poste aux affaires dans le cas ou les camarades rose-Mou remporteraient les éléctions de 2007, avant de se mettre aux platines pour un bon mix solidaire et révolutionnaire. Alors en 2007, te trompe pas de flyer camarade teufeur anorchoide : vote LCR pour que Dj OB1 puisse enfin mixer à l'oeil à l'Assemblé Nationale!

Monday, August 07, 2006

Platon Vs Hollande?...Platon ou l'Exes de Liberté


C'est vrai, dit-il. Eh bien, ce que la démocratie définit comme bien, n'est-ce pas un désir insatiable à son égard qui la détruit ?
Mais dis-moi ce qu'elle définit ainsi. La liberté, répondis-je. Ne serait-ce donc pas d'elle dont, dans une cité démocratique, tu entends dire qu'elle a la part la plus belle et que, pour cette raison, ce n'est que dans une telle cité qu'il convient qu'habite quiconque est par nature libre ? On entend en effet, dit-il, ce mot répété à tous bouts de champs.
Eh bien, dis-je, comme j'allais le dire à l'instant, ce désir insatiable d'elle et l'indifférence à l'égard de tout le reste, c'est cela qui fait changer ce régime et le prépare à avoir besoin de la tyrannie. Comment ? dit-il. Quand, me semble-t-il, une cité démocratique assoiffée de liberté a le malheur d'être dirigée par de mauvais échansons, et qu'elle s'enivre plus que de mesure d'elle à l'état pur, alors, si ses dirigeants refusent de filer doux et de lui laisser une totale liberté, elle châtie ceux qu'elle tient pour responsables, comme des meurtriers et des tenants de l'oligarchie. Ils agissent en effet, dit-il, ainsi. Et ceux, repris-je, qui obéissent aux dirigeants, elle les couvre de boue, les accusant de se livrer eux-même à l'esclavage et d'être des moins que rien, alors que les dirigeants qui se laissent diriger et les dirigés qui dirigent, aussi bien dans les affaires privées que publiques, elle les loue et les honore.
N'est il pas alors inévitable que dans une telle cité la soif de liberté vienne à tous ? Comment en serait-il autrement ? Et qu'elle s'insinue, dis-je, mon très cher, jusqu'au plus profond des maisons et qu'en fin de compte il n'y ait jusqu'aux animaux en qui l'anarchie se développe ? Que veux-tu dire ? demanda-t-il. Que, répondis-je, le père s'habitue à devoir traiter son fils d'égal à égal et à craindre ses enfants, le fils s'égale à son père, n'a plus honte de rien et ne craint plus ses parents, parce qu'il veut être libre ;(......) C'est bien ce qui se passe, dit-il. À tout cela, dis-je, s'ajoutent encore ces petits inconvénients : le professeur, dans un tel cas, craint ses élèves et les flatte, les élèves n'ont cure de leurs professeurs, pas plus que de tous ceux qui s'occupent d'eux ; et, pour tout dire, les jeunes imitent les anciens et s'opposent violemment à eux en paroles et en actes, tandis que les anciens, s'abaissant au niveau des jeunes, se gavent de bouffoneries et de plaisanteries, imitant les jeunes pour ne pas paraître désagréables et despotiques. C'est tout à fait ça ! dit-il. Mais en fait, dis-je, le comble, mon très cher, de l'excès de liberté, tel qu'il apparaît dans une telle cité, c'est quand ceux et celles qui ont été achetés ne sont en rien moins libres que ceux qui les ont achetés. Et dans les relations des hommes avec les femmes et des femmes avec les hommes, le point où en arrivent l'égalité des droits et la liberté, nous étions près de n'en quasiment rien dire ! Pourquoi pas, pour citer Eschyle, dit-il, « dire ce qui nous est venu à la bouche à l'instant » ? Bien sûr ! repris-je. Et c'est ainsi que je parle. À quel point les animaux qui sont au service de l'homme sont beaucoup plus libres dans une telle cité qu'ailleurs, c'est incroyable pour qui n'en a pas eu l'expérience. Car sans mentir, les chiennes, comme dit le proverbe, deviennent en tous points semblables à leur maîtresses, et les chevaux et les ânes, habitués à aller en tout librement et fièrement, heurtent à tout instant dans la rue les passants qui ne s'écartent pas ; et tout devient ainsi gavé de liberté. C'est, dit-il, mon propre rêve que tu me racontes là ! Car je subis bien souvent de telles mésaventures quand je vais à la campagne.
Et le résultat, dis-je, de tous ces abus accumulés, tu le conçois, c'est qu'ils rendent l'âme des citoyens si délicate qu'à l'approche de la moindre apparence de servitude, ils s'irritent et ne peuvent le supporter. Et tu sais bien qu'au bout du compte, ils n'ont plus cure des lois écrites ou non écrites afin de n'avoir jamais nulle part à supporter de maître. O combien, dit-il, je le sais !
Eh bien, dis-je, mon très cher, tel est le beau et vigoureux commencement duquel naît la tyrannie, ce me semble.

République, VIII, 562b-563e
Comme le montre le contexte, la critique de Platon ne se limite pas aux jeunes, mais vise la société tout entière, jeunes et vieux, hommes et femmes, citoyens et étrangers, maîtres et esclaves, et s'étend même jusqu'aux animaux, quand trop de liberté est laissée à tous.

Wednesday, August 02, 2006

DETOURNEMENT du droit à la différence , DICTATURE DE LA PENSEE UNIQUE

En réponse aux nombreux posts au caractère enthousiaste et accusateurs, qui insultent la Légion en voulant la réduire à un mouvement trivial raciste et fascisant, nous en profitons pour en remercier les auteurs pour autant de preuves de la pauvreté et de l'insalubrité de la réthorique Gauchiste. Encore merci.

Un légionnaire qui, au cours de sa journée, ne s'est pas fait fait insulté, n'a pas provoqué la colère, ne s'est pas confronté avec le gauchiste, celui la a perdu sa journée.
Il fut un homme qui tenta l’aventure Politique, certes avec humour, mais avec tout autant de bonne volonté. Un regrettable accident malvenu le délivra bien à temps des possibilités de faire un jour l’expérience cosmique de l’exercice du pouvoir. Coluche avait dit un jour « la seule différence entre la Démocratie et la Dictature : La dictature c’est ferme ta gueule, la Démocratie c’est cause toujours » La nuance est subtile, le mot était bon, l’auteur tout autant. Cette excellente boutade met en lumière une des grandes menaces à laquelle la Démocratie est confrontée, une maladie auto immune indissociable d’elle même, à savoir la Liberté de débattre, de critiquer, de penser, émanant d’un des principe qui en fonde la base inaliénable: La Liberté, et en particuliers celle de penser et d’en débattre. En théorie donc, la pensée est libre en Démocratie, et ne trouve virtuellement sa limite qu’au respect des pensées éventuellement divergentes. Or à la pratique, force est de constater qu’une certaine hypocrisie latente réduit le champs des possibles à ce que l’on pourrait appeler un cône de tolérance, ou cône de niaiserie, dont les limites sont définies par la nécessité de réduire et contrôler cette pensée pour en contenir l’expression bien plus que par le nécessaire et suffisant respect des idées divergentes.

Tout comme concernant le Parlementarisme en Politique, l’expression permanente de la confrontation des idées fini par aboutir à ce qui ressemble à une pléthore de bavardages dont l’unique résultat concret ne peut plus être que la seule satisfaction d’avoir mené la conversation, sorte de joute moderne dont l’arène demeurerait désespérément stérile. Car l’amoncellement d’idées, leur enchevêtrement quasi partousesque dans une profusion de banquet ne procède, in finé, qu’à décrédibiliser chacune de ces idées en les noyant dans la masse informe de toute les autres, et finalement à ruiner leur substance, ou leur absence de substance, leur pertinence éventuelle. Ceci est aussi regrettable que préjudiciable à l’expression de la démocratie qui devrait permettre l’émergence des idées les plus riches au profit du bien collectif. Précisément en cela, cet état de fait, cette fatalité inique permet le triomphe des médiocres et des ambitieux, au détriment de l’intelligence et de l’action. Or ce phénomène parlementaire, par imitation ou par mimétisme, s’est désormais fait jour au sein de la société civile, rendant finalement le citoyen électeur aussi peu attentif que possible en le noyant dans ses propres satisfactions de bavardeur, de penseur compromiste, de parfait équilibriste du « zero », échangeant avec ses pairs dans le cadre moisi et prudemment restreint du politiquement correct, ne risquant à aucun prix d’être exclu des précieuses faveurs du petit cercle, à savoir une estime hypocrite et la promesse indéfectible d’appartenir à une belle et grande famille. Au sein de la société civile, en réalité, l’apparente toute liberté a comme premier effet un sentiment profond de solitude et d’isolement, qui au delà l’illusion auto entretenue résulte de la frustration bien légitime d’un manque de sincérité et de valeurs, sans lesquelles l’individu ne peut s’épanouir socialement. Cette frustration résultant d’un manque d’ouverture du champ intellectuel par autocensure est probablement à l’origine du malaise francais et de la fameuse morosité générale. Car en matière d’échanges humains également, profusion ne signifie pas richesse.

Le problème que pose la limitation des idées à un cône de tolérance du Politiquement correct est bien entendu la limitation de la réflexion à un champs réduit et bien souvent borné à des considérations de nature purement idéologiques et rigides, étouffant dans l’œuf toute possibilité d’innovation intellectuelle et les solutions pouvant en émaner. Le Media, vecteur moderne d’échange, et en particulier le Media télévisuel, est ici l’arbitre partial, le gardien servile de l’information, mais encore des limites de ce cône de réduction. Mieux même, il a vocation à conserver l’illusion d’une liberté totale, particulièrement à travers le bombardement de niaiseries aussi diversifiées que subversives. La vente d’une certaine forme de débilité soporifique, la promotion de la pensée proprette, le sacre du « gnan gnan dégoulinant », le triomphe des « insignifiances » aura parachevé l’œuvre initiée au sein des pouvoirs politiques de faire du citoyen électeur un animal docile, pathologiquement convaincu de son indépendance de pensée, et par ailleurs finement égoïste, parfaitement grégaire et profondément poltron. Il faut se rendre à l’évidence que le dogme de la pensée unique représente un formidable outil de censure à l’usage du Pouvoir. En effet, il est alors pleinement possible de discriminer toute brebis égarée en catégorisant son positionnement pour la décrédibiliser puisque étant située hors du cône de niaiserie (idée jugée trop compliquée, donc ennuyeuse et donc peu populaire), ou bien hors du cône du « politiquement correct » (c’est le cas idéal lorsqu’une idée peut, de prés ou de loin, être qualifiée de réactionnaire, fasciste, anti démocratique, ou comble du luxe : anti sociale). On pourra au passage se faire la réflexion que le pouvoir politique sait parfaitement combiner son discours officiel dans les limites de ces deux cônes superposés: celui de la niaiserie « populaire » des plateaux télé, télé réalité, incident sensationnel, grandes offuscations officielles, bref, le kitch, et le cône du « politiquement correct », caractérisé par une incapacité inique à évoluer, à mettre en œuvre, à décider, à innover, bref, à diriger un pays. Il semblerait que la décadence Politique ai déteint sur le citoyen, et par conséquent sur le moteur même du système démocratique, en faisant des citoyens des militants inconditionnels de l’insignifiant, prisonniers béats de carcans de pensés et d’idéologies moribondes et ruineuses, marchant comme un seul homme à la ruine de leur pays, arborant le sourire niais du dépressif anesthésié, ne serais ce que pour ne pas risquer d’être seul, meme libre. Sous couvert du droit à la différence, la pensée unique permet à une démocratie l’obtention des moyens de censure d’une dictature. La seule différence est que le tube cathodique a remplacé la matraque. C’est, à n’en pas douter, moins douloureux, mais tout aussi efficace, et ce, dans la pereinité, le silence et la discrétion, mieux même, le peuple la réclame .

Quelques équations triviales de discrimination de la pensée unique,
DICTIONNAIRE DE LA DICTATURE DE LA PENSEE UNIQUE :


Ne pas être d’accord avec les mouvements syndicaux
= être un fasciste réactionnaire anti social et égoïste

Se lasser des mouvements de grève à répétition
= être un Capitaliste égoïste

Dire que la notion de performance doit exister au sein du Service Public
= être un anti Fonctionnaire et vouloir la mort du Service Public

Dire que la restauration de la discipline et de l’autorité à l’école est un préalable indispensable à l’éducation des élèves = être un fasciste

Dites seulement que vous aimez votre pays et que vous vous souciez de la situation
= vous etes un nationaliste


Etre favorable à la suppression des allocations pour responsabiliser les parents qui laissent leurs enfants mineurs sans aucun contrôle errer et sécher l’école = être un abominable exterminateur fasciste raciste anti social

Un individu issu des quartiers difficiles met le feu à un bus dont une personne handicapée est prisonnière
= l’individu a des circonstances atténuantes au sens ou il est d’abord victime de l’exclusion, de l’exploitation du Capital, et des aides sociales insuffisantes, de discriminations. Ensuite et seulement ensuite, c’est éventuellement aussi un criminel débilitant.

Ne pas etre d’accord avec le principe de discrimination positive = être raciste

Estimer que la pression fiscale détruit l’économie
= Etre un affreux Capitaliste anti social

Se déclarer favorable au service civil (ou militaire)
= Etre un dangereux réactionnaire (Militariste)

Penser que les droits comportent la contrepartie de devoirs = être un vieux réactionnaire pétainiste

Avoir travaillé dur et réussi professionnellement = être un calculateur égoïste , froid et inhumain

Se déclarer opposé à une idée, mouvement, Loi, ou quelque proposition issu d’un mouvement politique de Gauche
= Etre un dangereux capitaliste anti social réactionnaire raciste et homophobe

S’inquiéter de l’endettement du pays et de ses conséquences = être un vilain réactionnaire capitaliste

Se défendre en cas d’agression par la force si nécessaire
= être un abominable fasciste

Vouloir contrôler les éventuelles fraudes et abus des prestations sociales , considérant que celles ci sont inacceptables, moralement, et économiquement car l’effort de solidarité nationale devrait être réservé strictement à ceux qui en on besoin, le reste étant pire que du vol
= vouloir précariser les plus faibles au profit des horribles salariés égoïstes qui on la chance d’avoir un travail et qui ne payent jamais assez d’impôt

La liste est longue. Lorsque vous y consacrerez quelques instants, à la réflexion, n’étés vous ou n’avez vous pas été, vous aussi, à un nomment ou à un autre, le vilain fasciste réactionnaire anti social égoïste d’un ou de plusieurs utopistes chantants, dont la générosité et les grandes litanies vous auront semblé trop belles pour ne pas être suspecte ?


Sunday, July 30, 2006

Message de Bienvenue au Petit Peuple de Gauche


Chers Camarades Socialistes, Bobo de la gauche caviar, Chers Cloportes, Chers Syndicalistes, Chers Poltrons Suceurs de F.O, Militants CGT, Chers pleurnichards du SGEN, Et enfin, Trés Chers Professeurs Universitocrates et membres de l'éducation Nationale, et trés trés chers Journalistes bien pensants,

Ce site ne vous est pas déstiné, et vous n'y etes les bienvenus que pour y apprendre qu'un mouvement prend forme qui s'est fixé le but le plus Noble de détruire votre hégémonie néfaste, de pulveriser l'infection de votre énorme combine, et de liberer la France de la misère résultant de la dictature intellectuelle et économique intolérable dans la quelle vous l'avez plongée.

Nous n'appelons pas au meurtre, rassurez vous. Nous appellons à la déstruction d'un système dans le système, à la déstruction du détournement de la République et de l'usage des institutions Publiques à votre seul profit égoiste.

Nous appellons aussi à l'effort et au combat afin de dénnoncer et de rependre au Monde l'ignoble vérité de vos impostures si subtilement déguisées en humanisme, et de leurs conséquences.

Hollande, l'autre pays du fromage

Mr Hollande, charismatique Leader bien aimé du petit peuple de gauche, déclare ouvertement qu'il "n'aime pas les riches". Curieuse posture, sans doute aggravée par l'effet canicule, cependant que l'auteur n'en est plus à une contradiction près. On reconnait ici le comportement présomptueux et fourbe typique de l'Enarquoide Sovietis Gauchus Imperator Nantis en période pré-électorale. Quelques reflexions qui ne manqueront pas d'échapper à nos chers con(s)-citoyens électeurs socialistes.

Qu'es ce qu'étre riche? Mr Hollande et sa charmante épouse disposeraient en éstimation basse d'un revenu mensuel net hors "frais" de 10 à 13 000 Euros soit près de 120000 Eur annuels. Es-ce cela etre pauvre? Car en ce cas, cher Commandant Cauchiste, une très large proportion des foyers Francais aspirent en effet à "etre pauvre" un jour.
Seconde hypothèse, peu probable certes, Mr Hollande serait une pourriture démagogue hypocrite, faisant démonstration d'une vulgarité exemplaire vis à vis des millions de foyers francais qui disposent de moins de 2000 Eur nets mensuels pour eux et leurs enfants, et dont plus de 70% de la valeur ajoutée du travail fille in finé dans les caisses de l'état.
Troisième hypothèse : S'agirait t'il d'un débile?...Un imbécile heureux? On brule là.
En tout état de cause, ce n'est pas la honte qui l'etoufferait, notre petit père du peuple.
Ah, mais pardon, milles pardons meme.. Les revenus du couple d'apparatcicks sont propres, car ne résultant pas d'une activité commerciale, et constituent une faible compenssation au regard de la glorieuse "lutte Sociale" qui peut ainsi etre menée. Le viel axiome Socialiste peut nous nous éclairer : Le partage des richesses, Oui. Mais celles des autres...

Thursday, July 27, 2006

Quelques liens vers d'autres sites dénoncant le Gauchisme















gionnaires, nous ne sommes pas seuls! Voici quelques liens vers d'autres combattants.

http://unispourjeterlagauche.hautetfort.com/
De valeureux camarades de combat. Ils sont particulièrement anti-socialistes et en dénoncent, comme nous, les dangers, les contradictions, les arnaques. Un régal. Tous unis pour jetter la Gauche.


http://labaf.blogspot.com/
Brigade de l'Argent des Francais. Exellent Groupe d'intervention tactique spécialisé dans les opération de traque du Beaucraticus Fiscalis Rex Tyranicus. Trés engagés, au travers d'actions coup de poing sur le terrain, ils sont une réference incoutournable de notre combat. Longue vie à la glorieuse B.A.F!

http://legauchisterepenti.oldiblog.com/
Intelligent et modéré. Un ancien Gauchiste repenti. Cela donnera de l'espoir à chacun d'entre nous. Lorsque les victimes s'émancipent.

http://jugeantigauchistes.googlepages.com/
Le juge anti gauchiste. Particulièrement utile pour les définitions.

http://journalpolitique.blogspot.com/

Beau travail de reflexion Politique. Contient quelques perles virulentes contre nos chers gauchards...



http://www.bafweb.com/
Site d'information alternative qui ne porte pas nos amis bavardeurs dans son coeur..
http://www.subversiv.com/
Un peu de tout. Effectivement subversif.